Dans la vie il y a deux sortes de personnes. Celles qui sont portées sur leurs physiques et les autres. Pour ma part et je dois bien l’avouer mon physique n’a guère d’importance. Je n’aime pas en faire étalage. On est comme on est un point c’est tout. Certaines personnes vous diront que je suis de taille moyenne assez maigre avec des yeux marron foncé et bridés. Que je ne ressemble pas à ces femmes superficielles se maquillant à longueur de journée. Mes cheveux ? Ah! Oui quand j’étais petite c’était toujours la crinière. Même encore aujourd’hui ils ressemblent plus à cela qu’à autre chose mais dans le fond cela ne me pose pas vraiment de problème je ne suis pas là pour plaire aux autres, non je suis là, je vis et je respire un point c’est tout. Et même si mon physique ne correspond pas à celui d’une top model cela n’est vraiment pas grave. Du moment que je fais mon travail. Après tout notre physique ne correspond qu’à l’image qu’on veut se donner. Et une image reste qu’une image…

Dans la vie nous sommes ce que les autres voient. Chaque individu est différent avec ses qualités et ses défauts. Certaines personnes ont la capacité de s’adapter et de modifier leur caractères envers ses semblables pour rentrer dans ce que nous pouvons définir être la norme. Je vous poses la question a quoi correspond pour vous cette norme ? Chacun à son opinion sur la question. Mais dans le fond nous sommes toujours la même personne peu importe ce que nous voulons dévoiler aux personnes qui gravitent autour de nous. Notre cœur ne ment jamais il est la vérité à l’état pur. Le cœur n’est pas que le moteur de l’être humain il définit aussi sa personnalité et son caractère. Vous connaissez l’expression avoir un cœur de pierre ? Voyez vous j’aimes bien donner cette impression autour de moi. Je n’aimes pas me montrer faible. Mais ceci n’est qu’un masque car derrière il existe une femme différente. Au fond de nous nous restons toujours fidèle à nous même. Il est vrai que pour certaines personnes je ne me résume qu’à un robot de la chirurgie thoracique. Ne m’intéressant qu’à mon travail. Seule Meredith a apprit à me connaître à me voir telle que je suis réellement. Mais dans le fond si on s’arrête là cela se voit que vous ne me connaissez pas. Derrière mon coté robot mon passé. Mes souvenirs d’enfances douloureux Je me forces à toujours paraître neutre sans émotions. Mais au fond de moi je me répètes souvent une phrase que voici « Cela est un masque et je n’ai pas l’intention qu’on me le retire »

Je ne pourrais jamais oublier ce jour. Ce jour où j’ai décidé de devenir chirurgien. Encore parfois quand je dors je revois ces images. Ces images me rappelant l’accident de voiture. L’accident où j’ai vu mon père se vider de tout son sang sans que je puisse l’arrêter. Mes mains étaient toutes petites je me rappelle encore le goût des larmes sur mes joues le suppliant de rester avec moi le suppliant de ne pas m’abandonner, qu’il n’avait pas le droit de le faire. Je me rappellerai toujours ce que je me suis dit ce moment. Qu’un jour je me battrais contre la mort. La mort m’a enlevé la personne qui comptait le plus à mes yeux alors je me vengerais. Dans mes yeux on pouvait voir la même détermination que j’ai à l’heure actuelle. Cette détermination que tout le monde prend pour un regard neutre sans émotions. Mais je me fiche royalement de ce que penses les autres. Je ne suis pas là pour leurs plaire. C’est avec la même détermination que j’ai fais mes études avec assiduité et réussite quoique je dois avouer que réussite est peut être un grand mot quand on se penche sur ma vie relationnelle avec les autres. Vous voulez savoir pourquoi ? Alors je vais vous le dire. Pendant mes études j’ai finis par établir une relation avec un de mes professeur. Le docteur Marlow. Relation que je dois bien dire prit fin quand mon internat commença au Seattle Grace Hospital. Encore maintenant je pars du principe que j’ai encore beaucoup à apprendre autant au niveau travail qu’au niveau sentimentale et relationnelle avec les personnes qui m’entoure. On ne cesse d’apprendre tous les jours. En intégrant le programme d’internat du Seattle Grace Hospital je me dois d’être la meilleure. Vous savez pourquoi ? Seul les meilleurs réussissent. Les places valent chers et il n’y a pas le temps de faire de s’amuser. L’internat est comme une jungle où il faut se battre pour vivre, pour pouvoir continuer à avancer. Pour aller au Bloc je ferais n’importes quoi. Quittes à écraser les autres. C’est ce qu’ont nous incite à faire. On doit se surpasser. On doit apprendre la vérité. Nous ne sommes pas là pour s’amuser mais qu’on est là pour réussir. L’internat est comme un ring où on doit gagner. En dehors de l’hôpital on peu apprendre à sympathiser avec les autres sans pour autant se dévoiler totalement. La seule qui arrive à me cerner est Meredith. Peut être parce que dans le fond on se ressemble tous les deux. Je n’ose pas ouvrir totalement mon cœur à quelqu’un et je pense que je ne le pourrais jamais. Mais dans le fond je suis une autruche. Après ma rupture avec le docteur Marlow je me suis promises de me méfier que je ne reproduirai jamais les mêmes erreurs c’est à dire de sortir avec un de mes supérieurs. Mais parfois dans la vie on ne peut s’empêcher d’écouter notre cœur. Et ça je les vites compris avec Preston Burke. Très vite je me suis attaché à lui. Peut être même trop vite. Je n’étais pas prêtes au fond de moi. D’ailleurs de cette relation je me retrouva enceinte. J’avais décidé d’avorter. Une interne ne doit pas être enceinte. De plus je me vois très mal maman. Je n’ai rien d’une mère. Mais la fausse couche arriva avant l’avortement. Par la suite Preston me demanda en mariage. Mais quelques temps après il décréta que je n’étais pas prêtes pour me marier. D’ailleurs il me planta devant l’hôtel comme une pauvre cruche. Un nouvel échec. A croire qu’au niveau vie privé je suis maudite. A mes yeux cette rupture fut très difficile. Mais j’ai retenue la leçon. Il ne faut pas s’attacher aux hommes trop rapidement il faut savoir se donner le temps un point c’est tout. Me plongeant encore plus dans le travail. Être résidente en Chirurgie correspond à une nouvelle année, à de nouvelles responsabilités. Et pour moi cela signifie aussi une nouvelle rencontre. Celle d’Owen Hunt. Nous ne tardons pas à tomber dans les bras l’un de l’autre. Je l’aimes vraiment d’un amour sincère. Mais au fil des mois il devient de plus en plus violent. Cela me fait peur mais j’ai décider de rester à ses cotés et de l’aider à faire la paix avec lui même

Instant RPG facultatif mais conseillé.
Dans la vie nous sommes ce que les autres voient. Chaque individu est différent avec ses qualités et ses défauts. Certaines personnes ont la capacité de s’adapter et de modifier leurs caractères envers ses semblables pour rentrer dans ce que nous pouvons définir être la norme. Je vous pose la question a quoi correspond pour vous cette norme ? Chacun à son opinion sur la question. Mais dans le fond nous sommes toujours la même personne peu importe ce que nous voulons dévoiler aux personnes qui gravitent autour de nous. Notre cœur ne ment jamais il est la vérité à l’état pur. Le cœur n’est pas que le moteur de l’être humain il définit aussi sa personnalité et son caractère. Vous connaissez l’expression avoir un cœur de pierre ? Voyez vous j’aime bien donner cette impression autour de moi. Je n’aime pas me montrer faible. Mais ceci n’est qu’un masque car derrière lui existe une femme différente. Au fond de nous nous restons toujours fidèles à nous même. Il est vrai que pour certaines personnes je ne me résume qu’à un robot de la chirurgie thoracique. Ne m’intéressant qu’à mon travail. Seule Meredith a apprit à me connaître à me voir telle que je suis réellement. Mais dans le fond si on s’arrête là cela se voit que vous ne me connaissez pas. Derrière mon coté robot mon passé. Mes souvenirs d’enfances douloureux Je me force à toujours paraître neutre sans émotions. Mais au fond de moi je me répète souvent une phrase que voici « Cela est un masque et je n’ai pas l’intention qu’on me le retire. Tout en marchant pour me rendre au Seattle Grace Hospital je repense à tout cela. Encore hier je me suis entendre dire que j’étais un robot sans cœur. Que je deviendrais comme ces chirurgiens incapables de connaître le nom de leur patient. Cela est vraiment absurde. Les personnes qui m’entourent me jugent sans me connaître. C’est dans cette réflexion que j’arrive devant les vestiaires. J’ouvre la porte. Comme à mon habitude je suis en avances. Pour certaines personnes j’arrive avant pour les meilleurs cas. Seulement aujourd’hui cela est différent. Oui aujourd’hui je me fiche royalement des cas chirurgicaux ou non potentiel. Aujourd’hui est un mauvais jour pour moi. Aujourd’hui correspond à une date que je maudis au plus profond de mon être. Tout en me changeant j’essais de faire le vide dans ma tête. La pendule murale indique 5 heures 20 du matin. Après mettre préparer je m’assois sur le banc et je ferme un moment les yeux. Je respire plusieurs fois lentement. J’aime bien le silence que j’entends autour de moi. Il me calme comme une source d’énergie il me rassure. Je n’aime pas montrer qui je suis aux autres personnes qui m’entourent. Je ne veux pas lire dans leurs yeux de la pitié et encore moins de la fausse compassion. Personne ne peut me comprendre non personne. Je me lève et je réouvres mon casier. Dedans je prends une boite je retourne m’assoire et je l’ouvre. De vielles photos. De vieux articles de journaux. Vous voulez savoir ? Cette boite est le seul lien qui me permet de me rappeler qui je suis véritablement. Je marmonne tout en prenant une photo représentant un homme et une fillette

« Tu me manques papa c’est de ma faute si tu n’es plus là »