Qui je suis? A quoi je ressemble? Tu veux connaître ma description? Tu es sur de vouloir la savoir. Alors très bien la voici résumé en quelques lignes. Alors en premier je réponds au prénom de Verena. Si tu me regardes assez rapidement tu te rendra compte que je suis une fillette assez maigre et petite pour mon âge. ma peau est pale se qui me donne un air maladif la plupart du temps. Je possède des yeux d'une couleur noisette. Mes habits sont trop grands pour moi. Je nage littéralement dedans. Je possèdes également de grandes cicatrices partout sur mon corps. Des cicatrice qui témoignent du feu qui m'a brulée en partit et des résidus de blessures dut aux différents bombardements que j'ai connus dans mon passé. Mais j'ai un secret au fond de moi. Lequel? Si tu le découvre un jour franchement c'est que tu es très fort. Je ne sens pas la douleur quand je me blesse. Je n'ai jamais mal. Je suis né ainsi. Même si c'est une maladie qui handicap pas mal j'ai appris à vivre avec elle m'a sauvé la vie plusieurs fois. Avec elle je ne suis pas morte je continu de vivre. Oui je continu de vivre me raccrochant à un semblant de vie.

Mon caractère? Mais qui je suis en réalité? Tu veux le savoir? Est ce que tu arrivera à m’approcher pour cela? C’est moins sur. Mais si tu y arrive tu te rendra compte que derrière mes allure de petite sauvage se cache une fillette réfléchit et très douce. J’écoute aussi beaucoup et j’observe. Mais je suis aussi très peureuse. Je ne supporte pas les bruit d’orages ou d’explosion. J’en est peur. Une peur sans limite qui s’explique par mon lourd passé.
Mes défauts? Comme je l'ai dis plus haut c'est mon coté sauvage je n'aimes pas les contacts avec les autres. Ces contacts fait danser mes yeux de peur. Ce coté sauvage qui c'est transformé en mutisme sans égale. La cause? La barrière de la langue. Et oui polonais je sais parler sans problème mais américain pas vraiment...

Mon Histoire? Depuis le début? Vous savez il n'y a pas grand chose à en dire. Mon histoire n'a pas vraiment une très grande importance par rapport à ma misérable vie. Misérable? Pourquoi? Parce que la vie est qu'un morceau de poussière qui passe et qui est pas synonyme de bonheur. Pourquoi? C'est ainsi pour la plupart des enfants ayant connus une histoire similaire à la mienne. Vous voulez vraiment que je vous la compte pour pouvoir mieux me connaître? Alors la voici. Je réponds au doux prénom de Verena. Verena un prénom de liberté pour une fille comme moi. Quel prénom!!! Alors moi c'est Verena j'eus l'occasion de voir le jour à Zlavta petit village paumé au fin fond de la Pologne. c'est ici que tout commence pour moi. C'est dans ce village que j'appris très vite à vivre dans un pays en guerre continuelle. enfin guerre sans être vraiment une guerre mondial mais plutôt civile. J' appris à être heureuse dans ce pays. Mais la vie est injuste. La guerre m'a arracher le bonheur et la vie de mes parents et de mon petit frère tout juste né. Il faut bien l'avouer je passe de long mois dans un hôpital à cause de mes blessures. A la suite de ces longs mois je fus adopté par un couple américains qui m'amènent dans un nouveau pays. Les états Unis. Pays si différents, nouvelle langue, nouvelle coutumes j'ai peur je ne comprend pas tout ici.... c'est pour cette raison que je décida de me réfugier dans le silence donc je me retrancha peu à peu dans une sorte de mutisme ne se plaignant jamais. La femme qui m'a adopté mourut dans un accident de voiture. Son maris commença à être violent avec moi. Mais si il veut m'entendre crier il peut toujours attendre car moi la douleur je ne connais pas. Non je ne l'ai jamais connut et je sais me rafistoler toute seule comme j'ai l'habitude de le faire et qu'on m‘a appris à faire. Mais ce genre de vie me conviens pas du tout. Alors par une nuit, moi Verena je décides de fuir. Où? Je l'ignores dans les rues, dans un bâtiment?... Est ce qu'un jour je connaîtrais à nouveau le bonheur? Je ne sais pas seul le temps le dira…

Depuis combien de temps je me suis enfuis de chez son père adoptif? Je ne sais même plus au fond de moi même. Le temps? Je ne sais même plus à quoi sa correspond. Comme perdu je ne sais plus rien mis à part que j'ai peur. Oui une peur qui me paralyse au plus profond de mon être. J'ai peur j'ai froid et aussi j'ai faim. Mon refuge? Mais où est mon refuge? Si tu veux le trouver il ne faut pas me chercher par terre non mais plutôt en l'air. Je sais voler? Bien sur que non Les anges avec des ailes trop peu pour moi. Non ma cachette est dans un grand arbre au beau milieu d'un terrain tout vert. J' aimes bien les grands arbres centenaires. Pourquoi? Car ils m'ont toujours protégé oui toujours. Donc on peut dire que je me sens en sécurité auprès d'eux. Si je sentais la douleur je suis sur que j'aurais mal à chaque parcelle de mon corps dut à mes blessures qui n'avait pas été arranger par les coups de son père adoptif. Mais peu importe car j'ai apprit à encaisser sans me plaindre et ça depuis toute petite. Oui elle avait apprit et surtout que je ne sens pas la douleur mais ça c'est mon petit secret. Soudainement je me réveilles en sursaut en entendant un coup, une détonation au loin. Par réflexe je me bouches les oreilles. J'ai peur de toute sorte de bruits comme celui ci. Je commença à me bercer lentement d'avant en arrière. Je sens soudain la petite chaine autour de son cou partir et tomber par terre bien en dessous de moi. Ensuite je ne compris pas tout ce qui se passe. Bien au contraire. Je me sens projeté au sol par terre. Un liquide chaud commence à couler sur mon épaule. Une balle? Je me suis fais tiré dessus. Je ne suis pas un pigeon. Je commences à regarder le ciel d'un regard plus ou moins voilé. Je ne cherche pas à appuyer sur mon épaule pour arrêter le sang. Je marmonne

"Mourir... Mourir..."

Oui autant en finir cette vie ne ressemble plus à rien pour moi. Non c’est même plus qu’un quart de vie sans plus aucune consistances non plus aucune. Lentement je laisse le froid m’envahir et mes yeux se fermer. Je n’ai pas envie de lutter non je suis trop lasse de lutter de toute manière je ne manquerais à personne non à personne. Je pourrais enfin retrouver maman, papa et mon petit frère.