Notre belle Isobel avait passer une journée formidable dans les bras de l’homme de sa vie, de son rayon de soleil quotidien, et du seul homme qui lui donne une raison de ce lever le matin. Il s’agissait d’Alex Karev, résident en chirurgie comme elle. Nos deux amoureux avaient pris une journée afin de pouvoir profiter d’un de l’autre, et a vrai dire, elle en avait bien profité. Elle avait passer une journée idyllique, et aujourd’hui, elle devait reprendre le boulot. Et oui, il y a un moment, pas le choix ! C’est alors dès que le réveil sonna alors a 5h30, qu’Isobel se décida alors a quitter les bras de son amoureux, en l’embrassant très légèrement afin de ne pas l’éveiller, puis alla directement a la douche pour faire couler de l’eau bien froide afin de réveiller son corps. Elle sortit de la salle de bain, une serviette enroulant son corps svelte, et alla de nouveau dans la chambre afin de passer des habits plus confortable. Elle prit alors les premiers habits qui lui venait, sachant bien qu’elle devrait en changer a l’hôpital. Elle alla a la cuisine, dit un rapide bonjour a Meredith et Derek, puis se servit une tasse de café avant de prendre la voiture.Et puis, le Seattle Grace lui manquait un peu, car bon, tout chirurgien qui se respecte est en manque de chirurgie, cette drogue qui leur donne une dose d’adrénaline, et qui fait qu’ils se sentent si puissant, comme des Dieux dans un bloc opératoire, ayant une vie entre les mains. Mais aujourd’hui, sa journée allait commencer par les fameuses visites, et c’est alors avec la liste de ses internes qu’elle commença a parcourir les chambres des patients.

- Alors, qui nous présente ce patient ?

Et ce fut comme ça durant toute la visite, et pour tout les patients. Les pathologies n’étaient pas très intéressante, rien d’intéressant chirurgicalement en tout cas… Le seul cas qui pourrai être intéressant pour elle était un certain Aaron Davidson, atteint d’une leucémie. Cette maladie l’intéressait, et elle avait même plusieurs fois penser a faire un essai clinique dessus, mais ses recherches n’étaient pas encore complètes. Et puis, il fallait aussi qu’il trouve un titulaire qui accepterai de mener cet essai a bien avec elle. Bref, elle avait encore du temps devant elle avant de tenter quoi que ce soit. Elle avait la tête dans les nuages ce matin, et ne réfléchissait vraiment pas beaucoup, laissant les internes faire tout le travail. La seule chose qu’elle faisait, c’était de dire quel patient allait a quel interne. De plus, Meredith lui avait donner quelques uns de ses internes, car elle était sur une grosse opération qui allait durer toute la journée. D’ailleurs, il n’était toujours pas arrivé… Matieu Richardson. C’était donc l’homme qui avait réputation d’être le nouvel Alex Karev de la promotion, le tombeur de ses dames, et hommes d’ailleurs si les rumeurs disaient vrai. Mais la n’était pas le problème, car il était en retard. Isobel n’était pas très dure, mais la, elle allait perdre du temps, et ça la mettait hors d’elle. Elle se rendit donc seule dans la chambre du patient, et s’apprêtait a commencer a le présenter au reste de l’équipe qu’un jeune homme entra alors dans la salle du patient. Izzie fit donc un sourire a monsieur Davidson, tout en prenant la parole

- Ah, notre tombeur a décider de sortir de son lit et de nous honorez de sa présence ? Allez, dépêchez vous de me présenter ce patient. Et une fois fait, vous vous occuperez de lui donner ses soins quotidien. Je suppose que je n’es pas besoin de vous les rappeler, ils sont notés dans le dossier. Donc a moins de ne pas savoir lire, tout devrait allez…

Elle regarda alors monsieur Anderson, et lui fit un grand sourire.

- Monsieur Anderson, voici le docteur Richardson, c’est lui qui va s’occuper de vous a partir de maintenant. Je vous souhaite une bonne journée.

C’est donc avec les 2 internes lui restant qu’il sortit de la chambre, et continua alors sa visite. Sa journée venait a peine de commencer, et déjà elle voulait rentrer chez elle, retrouver les bras musclé de son homme.

Malheureusement, il y a des jours où rien ne marche comme on l’aurai désiré, et où tout part de travers, sans que les gens ne puissent rien y faire. Ces jours la, tout le monde essaye d’en avoir le moins possible, sachant que ces journées si spéciale sont interminables, et surtout prise de tête comme pas possible. Et c’est exactement ce que vivait Matieu Richardson depuis hier soir, a partir du moment où il avait fait sa première erreur médicale a lourde conséquence. En effet, la veille, Matieu était chargé de donner un certain traitement à une patiente, mais s’étant endormi durant le déjeuner, il n’avait pas pu lui donné, ce qui a entraîné chez cette patiente de vive douleur qui ont durées pendant plusieurs heures. Autant vous dire que ses supérieurs n’étaient pas fier… A la suite de cette erreur, il s’était dit qu’un peu de bon temps ne lui ferai pas de mal, et c’est donc pour cette raison que lui et une jeune et jolie infirmière se retrouvèrent pour un petit moment intime dans une salle de garde… Bon, vous pouvez dire que jusque la, pas de problème, mais pourquoi elle n’a pas compris que ce que cherchait Matieu était strictement sexuel, sans sentiments et surtout sans attaches ? Apparemment non… Bon, après une bonne grosse dispute, dans laquelle elle lui faisait la morale sur les relations hommes femmes, et pleins d’autres choses inutiles. Après tout, pourquoi l’avait t’elle suivit pour ensuite le lui reprocher ? Les femmes, franchement…

C’est donc une fois a son appartement que Matieu se rendit compte que la galère allait continuer encore quelques temps. En allant ouvrir son frigidaire, il se rendit compte qu’il était vite. Pas même un fruit, ou un yaourt… Obliger de commander a manger, et donc de l’attente, attente qui fut d’ailleurs interminable. Avec 30minutes de retard, sa pizza arriva, mais froide. Ok, il ne l’a pas payée, mais bon, il n’avait pas manger non plus. Et vu l’heure, pas le temps de recommander. C’est donc le ventre vide qu’il s’endormit devant la télé, sur le canapé. 7h le lendemain matin, et Matieu daigna ouvrir les yeux pour voir son appartement baigné de lumière. En jetant un coup d’œil à son portable, il vit alors l’heure qu’il était

- Merde !!

A peine réveillé, notre jeune interne était déjà en retard. Alala, comment bien commencer une journée ? Surtout qu’ aujourd’hui, sa résidente ne le prenait pas. Il devait travailler avec Isobel Stevens, une résidente. Il la connaissait, enfin, de nom du moins. En même temps, son histoire d’amour avec son patient était des plus connus, et les professeurs la citaient en guise d’exemple a ne pas suivre. Oui, tombé amoureux d’un patient est un peu bête, car le risque de souffrir est énorme et surtout, vous risquez de participé a sa mort, ou alors a sa survie… Mais personne ne pouvait le savoir a l’avance et c’était bien dommage. En attendant, Matieu comprenait Isobel. Après tout, on ne tombe pas amoureux comme ça, que ça soit d’un patient ou même d’un titulaire : regarder Meredith et Christina… bref, il était en retard, et c’était trop mauvais pour lui. Il se déshabilla alors en vitesse, et partit prendre une bonne douche avant de passer quelques vêtements confortable. Un petit tour dans la salle de bain pour le coté esthétique et hop, c’est parti pour une course vers l’hôpital. La journée de calvaire était loin d’être finie apparemment. Il arriva alors en moto, et se changea a toute vitesse dans les vestiaires, puis parti a la recherche de sa nouvelle résidente.

Il la trouva après quelques minutes a errer dans l’hôpital, et s’empressa d’entrer dans la chambre du patient. Il ne savait pas du tout qui était ce patient, car il était trop préoccupé a écouter sa résidente lui passer une savon, et même a l’appeler « le tombeur ». C’est vrai que Matieu avait pour réputation de prendre le relais de l’ancien interne qui faisait craquer toute les filles, un certain Alex. L’ironie ? Alex avait justement trouver l’amour avec cette belle blonde. Mais bon, elle venait de lui attribuer ce patient, et c’est alors qu’il se décida enfin a le regarder pendant que sa résidente faisait les présentations, pour ensuite le donner le dossier dans les mains. Il s’approcha alors du lit, et regarda alors mieux le patient. Il sentait alors quelques choses de bizarre, une atmosphère changeante dans cette pièce. De plus, il n’arrivait plus a décoller ses yeux des siens… Ils étaient si bleus !! Il réussit après quelques secondes a reposer son regard sur le dossier qu’il tenait, et lu alors le nom et le prénom du patient.

- Bonjour Aar.. Euh… monsieur Anderson… Comment allez vous ce matin ?

Non mais n’importe quoi Matieu ! Si il est a l’hôpital, c’est qu’il ne va pas bien ! Il fit alors une moue, se rendant compte de son erreur, et passa sa main dans sa nuque, était plus que gêné.

La vie est loin d’être facile mais c’est peut être ça qui fait que l’on se sent vivre. C’est vrai, si tout était tout beau tout rose, comment ne pas se sentir comme un fantôme. Aaron avait eu des moments dans sa vie qui ont fait ce qu’il est aujourd’hui. Quelqu’un de battant, qui ne veut plus se laisser marcher sur les pieds et encore moins s’apitoyer sur son sort. C’est pour cette raison que lorsqu’il a appris qu’il avait une leucémie, il n’avait pas pris la nouvelle de la façon la plus attendu. Oui il avait pleuré toute une journée, oui il avait eu envie d’en finir ne serait-ce qu’un quart de seconde. Pourtant, malgré cette philosophie, il resta plongé dans un silence de marbre pendant 6 mois. Et puis, après avoir passé ce cap, il avait décidé de se relever et de se battre contre ce foutu cancer. Voilà pourquoi cela faisait maintenant plus d’un an qu’il est malade et qu’il vient à l’hôpital pour se faire soigner. Guéri, il ne l’ai pas encore, mais en tout cas, il ne veut pas s’avouer vaincu, bien au contraire. Comme dans ce genre de maladie, il y a des moments ou tout va bien et puis des moments où tout bascule. Jusque là, notre cher Aaron était dans une période tranquille ou sa santé c’était améliorée. Il n’allait pas s’en plaindre bien au contraire. Il en profita d’ailleurs, pour croquer la vie à pleines dents.

Pourtant, depuis maintenant 24h, tout avait basculé. Alors qu’il était tranquillement entrain de marcher dans son appartement pour aller se chercher à boire. Il eut une grosse montée de fièvre. Jusque là, rien de bien méchant, il pouvait très bien se coucher avec un cachet. Mais il savait très bien que c’était un des symptômes de sa maladie. Et puis, quelques minutes après, le plus important finit par arriver, mon insuffisance respiratoire. Aaron ne chercha pas plus et appela une ambulance pour le conduire au Seattle Grace Hospital, là où il était suivi. Le voilà donc de retour à l’hôpital pour de nouveaux examens et surtout la reprise de son traitement. La nuit fut courte pour lui. Il avait été en observation et avait toujours un peu de mal à respirer. On lui avait donc mis un dispositif qui lui donne de l’oxygène pour l’aider à respirer. Une nuit à ne pratiquement pas dormir de peur de ne pas se réveiller. C’est vrai que cette fois-ci, la crise était plus importante. Aaron n’avait pas l’habitude de se laisser aller mais là, il avait pleuré. Il pensait avoir plus de répit, mais le revoilà dans cet hôpital. Un petit coup de mou mais qui passera rapidement comme d’habitude.

D’ailleurs, en ouvrant les yeux après avoir tout de même dormi deux bonnes heures, notre jeune patient avait retrouvé le sourire. Il savait qu’il avait les meilleurs médecins pour lui et qu’il n’avait pas à s’en faire. Toutes les solutions possibles seront trouvées et puis, son traitement n’était pas difficile et régulier. Donc normalement, il ne devrait pas y avoir de complication. Il était tôt mais après tout, les visites se font de bonne heure, donc autant être un minimum frais et ne pas avoir l’air d’un cadavre. Nous sommes dans un hôpital mais tout de même. Bref, Aaron était don réveillé, presque présentable. Il avait voulu se lever pour aller dans la salle de bain. Mais il avait eu la tête qui tourne donc du coup, il avait attendu. Quelques minutes après, il avait finit par arriver à se lever et une fois coiffé et prêt, il était retourné dans son lit. Etrange, mais le jeune professeur de philosophie aimait être présentable. Il ne pouvait pas faire comme si il n’avait pas d’effort à faire. D’ailleurs, c’est à peine de retour dans son lit que l’équipe de médecin se mit à arriver dans sa chambre. Aaron connaissait les filons maintenant. Un résident avec des internes et le tour était joué.

Mais ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il allait être témoin d’une scène des plus drôle. Et oui, la résidente, Isobel Stevens. Une blonde plus que sympathique que notre jeune patient connaissait de vue. Mais bon, il n’est pas du genre à s’attacher aux médecins. Il sait qu’ils sont là pour le soigner et pas pour devenir amis. Pourtant, certains étaient bien plus gentils que d’autres. Non pas qu’ils soient des machines mais juste un peu plus accès sur la chirurgie que sur le côté humain. Isobel était plus du côté humain, il l’avait de suite senti. Mais pas le temps d’en savoir plus qu’elle se moqua d’un de ses internes en l’appelant « le tombeur ». Il était arrivé en retard, ce qui n’avait pas été du gout de cette blondinette. Elle l’avait sermonné tout en restant douce. Une façon qui doit plus porter ses fruits que certaines autres méthodes. Bref, il avait été sommé de s’occuper des soins d‘Aaron, ce qui ne me dérangeait pas. Après tout, il fallait bien quelqu’un pour s’occuper de lui. Melle Stevens l’avait laissé avec lui et lorsqu’il posa ses yeux sur le jeune patient, il ressentit quelque chose de bizarre. Un regard attachant et qui faisait du bien. Une sensation étrange mais qui n’était pas si mauvaise. Aaron avait finit par sourire en voyant le jeune interne poser ses yeux sur le dossier tout en l’appelant par son prénom. Il était gêné ce qui fit sourire le jeune Davidson.

« - Et bien comme un patient de retour ici… Mais dites moi Monsieur le tombeur, vous avez l’air gêné ? Serait-ce ce qu’à fait Melle Stevens qui vous rend comme ça ? »

Un brin de malice dans la voix, une envie de taquiner ce jeune interne. Voilà ce que faisait Aaron. Il voulait détendre l’atmosphère, mais surtout cet interne dont il ne connaissait que le nom pour l’instant.

Appeler un patient par son prénom… c’était vraiment une grosse faute, et on peut dire que Matieu les enchaînaient depuis pas mal de temps maintenant. Déjà, il y eu le coup de l’erreur médicale, ensuite la femme trop collante, puis le fait qu’il n’est pas eu de bon repas depuis des jours, et pour finir, arriver en retard, et se faire engueuler par Isobel Stevens, sa résidente. Vie de merde vous avez dit ? Effectivement, vous avez raison, c’était vraiment ce qu’il était en train de vivre. Donc après avoir appelé Monsieur Anderson « Aaron », Matieu se sentait vraiment comme le dernier des abrutis, mais maintenant que c’était fait, il devait se reprendre en main, et passer pour un professionnel. Bien sur, il en était un, mais il ne l’avais pas très bien montré depuis qu’il était entré dans cette chambre. En même temps, comment être directement en confiance avec une belle blonde qui a peine rentré, vous descend et vous ridiculise devant vos collèges ? Bah il ne pouvait pas, et notre Matieu sentait que sa journée était loin d’être finie.

Une fois dans la chambre, en face de ce beau jeune homme qui était son patient, Matieu perdit tout ses moyens. Il se mit a bégayer, et a l’appeler par son prénom, et non a son nom de famille comme le voudrai le protocole. Déjà déstabilisé de base, maintenant il fallait que la situation amuse monsieur Anderson, allongé sur son lit et ayant assisté a toute la scène. Et ce n’est qu’une fois seul qu’Aaron Anderson répondit a la question. Et quelle question ! Lui demander si il allait bien, non mais n’importe quoi la ! Pourquoi ne pas demander a un aveugle si la vue qu’il a de sa fenêtre est belle pendant qu’il y était ! Pff, vraiment n’importe quoi Matieu, 0/20 ! Heureusement, le patient avait l’air cool, et c’est pour ça qu’il a plutôt été amusé par tout ça, et non pas par les gaffes que notre jeune interne collectionnait. Il lui avait même demander si ce que lui avait dit Isobel Stevens était ce qui était en train de le rendre mal a l’aise. Cela le fit encore plus rougir, car non, ce n’était pas vraiment ça…

- Euh… non… Mais c’est vrai que le docteur Stevens a dit des choses… et puis, je ne suis pas Monsieur le tombeur…

Cette dernière partie de phrase, il l’avait dit avec un sourire. Tout le monde savait que c’était un tombeur, mais de la a le crier haut et fort devant un patient, il y avait des limites, et Matieu n’avait pas tellement envie que monsieur Anderson ne connaisse sa vrai nature… allez savoir pourquoi, ça le gênait, et il voulait donner bonne impression. Donc rien que ce surnom, ce n’était pas une bonne chose. Mais bon, il devait l’assumer, et faire comme si de rien n’était et continuer correctement son métier, ce pour quoi il était payé. C’est donc le plus naturellement du monde qu’il parcourut le dossier a la recherche d’éléments de base, comme sa température, le diagnostic établit par les médecins, et plein d’autres détails. Il fut surpris en voyant le diagnostic : cela faisait plusieurs années qu’Aaron Anderson souffrait d’une leucémie. Matieu fit une petite moue, et regarda ce patient avec de la compassion dans ses yeux. Sa mère est morte d’un cancer, et tout les souvenirs lui remontèrent a la tête. Il se reprit vite, et décida de se présenta au patient, remarquant qu’il ne l’avais pas fait.

- Au fait, vous pouvez remplacer « le tombeur » par Matieu Richardson… Et je suis désolé d’avances pour toutes les gaffes que je risque de dire ou faire dans les minutes qui vont suivre… La poisse me poursuit depuis hier.

Il termina sa phrase par un sourire, referma le dossier, et alla poser sa main sur le front de monsieur Anderson afin de voir si il avait de la fièvre. En cas de doute, il devrai prendre sa température. Mais apparemment le nécessaire avait été fait pendant la nuit, et sa température ne devrai pas tarder a baisser. Il fit pas mal de geste de routine, et finit par inscrire sur le dossier que ce que les infirmières de gardes avait marqués aux pieds de son lit. En attendant, il devait faire la conversation, afin de ne pas plonger dans un silence. Mais quel sujet aborder ? Dans le sujet le plus banal du monde, il serai capable de faire une gaffe… Il fallait qu’il réfléchisse a ce qu’il allait dire, mais ça parait bizarre quand même.. Réfléchir avant d’ouvrir la bouche… c’est pitoyable…

- Alors Monsieur Anderson, que faite vous dans la vie ?

Mis a part si il était chômeur ou qu’il venait de ce faire virer, ça ne devrait pas trop poser de problème…