Carlie, est une jeune fille très naturel et très jolie. Elle est loin d’être superficielle. Elle est souvent qualifié de Jolie par les autres. Elle a de magnifiques cheveux blonds, qu’elle a hérités de sa mère surement. De nature ondulés elle les lisses quand l’envie lui prend. Elle n’a jamais fait de mèches car elle aime ses cheveux tels qu’ils sont. Ses yeux sont d’un très beau bleu, légèrement argenté. De petits yeux qui marquent l’attention de certaines personnes. Elle ne porte jamais de lentilles afin de changer la couleur mais elle met de fine lunettes noires légèrement rectangulaires quand elle lit. La jeune fille a une bouche très fine, légèrement rosé, ni trop grande ou trop petite. Elle applique de temps en temps un baume légèrement rosette afin de les faire ressortir. Carlie mesure 1m70, autant dire qu’elle n’est pas très grande mais elle se convient comme elle est. Tout comme sa mère d’ailleurs qui elle aussi était plutôt petite.

Excentrique - Passionnée – Douce – Franche – Curieuse – Sincère - Impatiente- Orgueilleuse – Sensible- Travailleuse- Intelligente – Joueuse – Sociable - Têtue – Susceptible - Déterminée – Honnête - Impulsive – Sévère - Souriante – Généreuse - Fragile – Jalouse – Énergique – Créative – Optimiste – Inattentive – Courageuse – Séduisante – Exigeante – Rêveuse – Mature – Bosseuse – Lunatique – Maligne – Polie – Dynamique – Sur d’elle – Attentive – Folle. Que ce soit en amour ou en amitié, Carlie voit d'un mauvais œil les nouvelles rencontres de ses proches. Très possessive, elle ne tolère pas qu'on entre dans son petit monde pour lui voler ceux qu'elle aime. C'est parfois assez comique car la jalousie est une des seules raisons qui pourrait la pousser à se mettre en colère! Une personne sincère ne pourra jamais lui contester ce trait de caractère. Le courage est une des valeurs morales qui fait toute la force de caractère de Carlie. Depuis toute petite, elle a appris à se maîtriser, à résister aux déceptions mais surtout à ne jamais baisser les bras. C'est ainsi qu'elle est parvenue jusqu’ici et qu'elle a réussi à prouver son talent. Carlie est habituellement adroit et affectueuse. De nature tactile, elle n'a aucun mal à distribuer des gestes tendres aux gens qui l'entourent. Mais Carlie est aussi un ensemble de contradiction, elle aime le soleil et adore les courir sous la pluie, elle est l’une des plus grands fans de Nutella au monde et pourtant fait attention à son apparence. Croire en l’amour, et toutes ces choses futiles sont tellement bête qu’elle s’amuse, relève tout les défis sans se poser des questions.

Un cri strident retentit dans la pièce, toute l’attention était désormais sur une personne. Déjà la, elle détestait être le centre du monde et avoir tout les regards posait sur elle. Mais elle n’avait rien dire, l’usage et l’art de la parole ne lui étant pas encore offert. La pièce était blanche, bien que vu d’une certaine façon on aurait pu facilement confondre avec un jaune très pale. A vu d’œil la pièce mesurait une dizaine de mètres carrés peut être plus il était bien difficile de juger comme ça. La chaleur commençait à devenir étouffante, l’atmosphère chaude devait insupportable, cela ressemblait presque à l’un de ces sonna que l’on trouve dans ces hôtel de luxe hors de prix. « La voila » une voix sorti enfin de ce silence. C’était celle du docteur Lowenson, un brillant chirurgien, spécialisé dans la pédiatrie et les accouchements. Il était brillant, sans doute plus que la plus part des médecins de cet hôpital. Au-delà de cela, c’était un homme attentionné et délicate, autant dans ces actes que dans sa voix. Comme chaque médecin, il souleva le petit être avec une grande douceur exécutant tout les gestes nécessaire à une suite d’accouchement « Bienvenue petite … » il se coupa un instant tournant la tête vers la femme allongé sur le lit. Elle était très belle vraiment belle, une longue chevelure brune tombé sur ses épaules, des yeux d’un noir profond faisait sortir le teint pâle de son visage, seuls les médecins savaient son nom, mais ils n’étaient pas autoriser à le dévoiler, un mystère. Mais l’inconnu désignons la ainsi n’avait que 17 ans, elle était tombé enceinte après une fête bien arrosé du moins ce n’était que les rumeurs des couloirs d’infirmière mais cela restait plausible. « Comment souhaiter vous appelez votre fille ? » lui demanda t’il en prenant la petite dans ces bras, « Faites comme vous voulez ce n’est pas ma fille » elle avait prit sa décision, elle n’était pas prête pour ça, ce n’était pas la vie qu’une enfant devrait avoir, elle serait adoptée. Lowenson regarda la petite dans le fond de ces yeux « Carlie … Sa te plaît petite ? Sa sera Carlie », la pseudo mère confirma et ce fut le début d’une vie.

« Bonjour Cassie, on dirait que cela prend fin, vous avez l’air heureuse » les deux femmes échangèrent un sourire. Cassie était une femme blonde, les cheveux mi long tombant avec grâce sur ces épaules. Elle était mariée avec Elias depuis plusieurs années déjà, ils vivaient ensemble dans une jolie maison à Seattle à quelques centaines de kilomètres de l’Orphelinat que dirige Valérie une femme forte et très douce. C’est le grand jour pour Cassie, toucher par les malheur de la vie, Cassie et Elias ne peuvent pas avoir d’enfant, très long de se laisser abattre, ensemble ils on choisit d’adopter, une petite fille. Leur choix Carlie. La petite demoiselle brune à un an, déjà très intelligente et perspicace, elle à la chance d’une nouvelle vie avec cette famille. « Je peux la prendre dans mes bras ? », Valérie lui tendit la petite dans ces bras. On pouvait déjà lire de l’amour et une réelle complicité. Au bout de quelques heures, Cassie et Elias partir avec cet enfant pour une nouvelle vie. Les années passèrent et Carlie grandit dans un univers tendre et parfait comme toutes les enfants devraient avoir. Sans mensonges, ils lui racontèrent tout sur sa vie, sa mère, qui l’avait abandonné, les raisons qui l’avait poussé à le faire et le nom qu’elle avait laissé si Carlie avait envie de la connaître celle qui l’avait mise au monde. Elle n’en fit rien, ce bout de papier restait au fond d’un tiroir sans que jamais ne l’eu regardé. Carlie s’en fichait totalement, ses parents se trouvaient dans la pièce d’à coté. Tout était parfait, et un jour le petit oiseau qu’elle était prit son envole s’envolant vers Seattle.

Faire médecine, c’était quasiment un rêve, elle l’avait su lorsque quelques années après sa naissance, quand elle avait rencontré le docteur Lowenson. Elle avait toujours été brillante et douce dans ces actes et le Seattle Grace Hôpital était pour elle.

Chaque jour dans cette ville m’ennuyais, parfois c’était une façade, celle de la fille dure, qui ne montrait aucune émotion hormis la révolte que je ressentais pour cet endroit que je qualifiais de « ville pourri sans intérêt » et ce quand je me trouvais de bonne humeur. Mais cela n’était pas moins une façade, au fond je ne pouvais pas nier que cette ville m’apaisait, j’y trouvais une sorte de calme dans chaque recoins de ce paradis terrestre. Depuis la mort de mes parents, ma vie avait été un véritable enfer, même si les personnes qui étaient autour de moise montraient douces, gentilles et compréhensibles. Qui ne le serait pas envers une enfant de six ans qui a perdu ces parents suite à un meurtre, se devant de déménager au milieu de nulle part avec sa grande sœur chez ces grands parents. Mais au fond j’aimais cet endroit, je connaissais chacun des recoins de cette ville, par cœur, j’avais presque la sensation d’avoir moi-même crée cette endroit parfois. Je n’étais pas la fille si dure que je montrais à presque tout le monde et surtout à ma sœur, je me montrais plus dure avec elle, parfois froide, et sèche dans mes actes. En réalité je la jalousais, elle était toujours celle que tout le monde aimait et regarder, que ce soit au travail, dans la rue ou avec les hommes, elle était magnifique, d’une beauté quasiment parfaite, je me sentais presque comme le vilain petit canard à ces cotés. Je me consolais en me disant que je ne devais pas être la seule femme à ressentir ceci à son égard. J’avais parfois la sensation qu’elle avait tout réussit dans sa vie, qu’elle était à elle seule un conte de fée. C’était peut être mal de penser ce genre de chose envers sa sœur, mais c’était dur de réussir dans l’ombre de la perfection. Cependant elle l’aimait, sincèrement, c’était un modèle pour elle, elle aurait tout donnée pour lui ressemblait et être une fille comme elle ; c’était pour ça qu’elle avait décidé d’être comme elle un jour, elle effectuer d’ailleurs les mêmes études qu’elles, dans son dos certes mais elle le faisait.

Être médecin légiste c’était ce qu’elle voulait depuis maintenant un bon moment, comme Pandorà. C’était très dur de lui cacher chaque jour, faire semblant de se rendre à des cours de musique toute la journée alors qu’elle allait en faculté de médecine, qu’elle travaillait toute la nuit et qu’elle bossait plus de 80 heures par semaines des fois, mais elle adorait ça, elle excellé même dans son domaine. Elle avait la volonté de réussir et de devenir quelqu’un de bien un jour. Elle savait très bien que ce n’était pas une bonne chose de mentir, mais elle le devait. Lui dire qu’elle souffrait énormément de la mort de ces parents, ou qu’elle l’aimait énormément, qu’elle en était fière lui semblait inenvisageable du moins pour l’instant. Pandorà quand à elle faisait sans doute de son mieux. Le cours de littérature de ce matin lui m’avait fait comprendre beaucoup de choses, j’avais pris cette option simplement parce que j’adorais la lecture, les livres et tout ce qui touchait à l’art de la plume. Cela me fascinait, ce qui pouvait sortir d’une tête, et se transcrire sur du papier.

Assise sur la table en métal gris brillant, au milieu des ustensiles médicaux je faisais attention à ne rien casser mais cependant elle prêtait beaucoup d’attention aux gens qui étaient autour de moi. Curieuse, j’aimais fouiller et tentais de comprendre des choses que je ne verrais pas forcement en cours de médecine. En compagnie de William je me senti assez bien, j’aurais pu ressentir un certain dégout en voyant un homme mort, tout ces hommes morts même mais non, je crois que la mort de mes parents, et leur corps passant dans ces sortes de sac poubelle devant moi m’avais au fond de moi préparer à ce genre de chose. Je regardais son corps en le fixant, mes yeux se posèrent sur sa peau blanche, ces mains légèrement bleuté et le coté fripée de ces lèvres. Je savais qu’un jour, ça serait moi qui résoudrais les mystères de la science, et peut être que je travaillerais moi aussi dans cet endroit, un jour. Sa serait formidable.

Ma sœur arriva plus rapidement que ce que je n’eu cru. Encore une fois elle était magnifique, si belle que j’en fus presque triste. Elle m’expliqua comment il était mort, un suicide, c’était à mon sens la chose la plus tragique du monde, mourir à la place d’un être cher, oui, mourir parce que on le désire non. Je ressenti presque un dégoût et m’éloigner de lui rapidement, me passant les mains sous l’eau, mes parents n’avaient pas eu la chance de vivre et lui choisissait la mort.

« Non ça ira, je peux rester »

Je restais appuyais sur l’évier ou je m’étais rincer les mains. Je pris une sorte de longue inspiration avant de me retourner et de regarder ma grande sœur droit dans les yeux.

« Je t’ai menti » je laissais un moment de silence s’imposait. La vérité arrivé et j’en avais peut être besoin « Je n’étudie pas la musique ... Je suis en seconde année de médecine »