Cristina Yang n'est pas connue pour être belle comme un mannequin, non loin de là, elle a un corps absolument parfait, pas une seule goutte de graisse, elle a de beaux cheveux légèrement ondulés, qui s'accordent avec son teint blanc pâle. D'origine Coréenne, elle a les yeux bridées, ce qui fait ressortir son côté sauvage. Enfin, elle n'aime pas particulièrement la mode, mais est toujours habillée de manière classe, excepté quand elle enfile son habit préféré : Sa blouse de médecin.

Le caractère de Cristina ? Une peau de vache. Elle est caractérielle, et n'a pas sa langue dans la bouche, elle dit toujours ce qu'elle pense. Si elle ne vous aime pas, elle vous pourrira la vie comme ce n'est pas permis. Elle n'affiche aucuns sentiments par peur que quelqu'un l'a comprenne, elle ne parle pas de sa vie, et est toujours pessimiste, car rien de pire ne pourra jamais arriver. Elle est Autoritaire, aime diriger les gens à sa façon, et a tendance à faire la moue quand tout ne va pas comme elle le souhaiterait. Enfin, elle est fidèle en amour, et est intolérante en ce qui concerne les liaisons.

Cristina Yang est née à Chicago dans l’État de l’Illinois, Ses parents sont tout deux nés en Corée du Sud, c'est donc de la qu'elle tient, c'est yeux bridés. Elle était une douce enfant, jusqu'à que son père décède , pour ses 6 ans, c'est dès lors, à ce moment la qu'elle voulue devenir médecin, l'idée murissant dans sa tête, il n'est pas passé un seul jour sans qu'elle n'y pense. Regrettant un peu au fil que les années passèrent, elle a tendance à penser, qu'elle aurait pu sauver son père. Cette détermination l'a mènera donc à faire des études de médecine, mais elle entretiendra une relation avec son professeur, le Dr Marlow, liaison, qui s’arrêtera lors de son entrée dans le Seattle Grace Hospital. C'est à ce moment la que Cristina vit son rêve se réaliser, plus motivée que jamais, elle travaille chaque jours, afin de devenir une titulaire en cardio-chirurgie. Ce qui, malheureusement lui causa quelques ennuis, Notamment depuis sa rencontre avec le Docteur Burke, magnifique homme de couleur, titulaire dans la spécialisation tant attendue de Cristina, ces deux amoureux ont vécus une magnifique idylle amoureuse avant que la belle, ne craque devant l'autel, depuis ce jour, Burke a disparu, démissionné, et Cristina n'en a jamais ré-entendu parler, certains jours, il est dur pour elle de s'avouer ce qu'elle a fait, et quelques fois elle vint à regretter la relation qu'ils entretenaient, à son plus grand désarroi. Mais, ayant l'habituelle tendance à sortir avec des titulaires, elle finira par rencontrer le Dr Hunt, avec qui elle entretient toujours des relations plutôt compliquées. Mais vous connaissez Cristina Young, rien ne lui fera perdre le contrôle.

Maxence Delacroix, Samedi le 28Fevrier : Jour 1.
« C’était un Matin. Un simple matin où j’ai pris cette décision. Aujourd’hui je me retrouve la, Aux abords d’une falaise ou les pierres, Plus tranchantes les unes que les autres n’attendent plus que mon corps. N’attendent plus que mon sang pour graver l’éternité. »
Quand la vie n’a plus de sens, Que plus rien ne peux nous empêcher de tomber dans ce long précipice, qui à t’il pour nous retenir ? A part l’envie de partir loin d’ici. Car plus rien n’avait d’importance, et plus rien n’en aura guerre. Que le bras d’un inconnu qui me retient... Et cette voix remplie d’espoir et de joie. Tom, 365Jours, c’est ce que je t’ai promis... Et enfin je partirais.
Aujourd’hui, alors qu’il faisait nuit, que ma peine baignait dans une marre de désespoir, quand enfin j’étais prêt à être libre et à me sentir seul pour l’infini. Il eut fallu que ce «Tom » soit la. Mes pieds nus jonchaient les cailloux tranchants, y laissant même parfois une petite gouttelette de sang s’entremêlant à mes larmes. Larmes chaudes, dans cet air froid. Mon souffle se saccadait, mon cœur s’accélérait. Comme si pour une fois je pouvais être heureux. Et d’un élan, je me précipitais dans le vide. Rien qu’un millième de seconde, car un bras, ce bras, m’a retenu... Ma détenu. Et alors je me suis retourné. C’est la que j’ai découvert son visage. Des traits fins, un sourire angélique. Des yeux bruns clairs, qui luisaient à la lune. Des dreads recouvraient une partie de son visage et chutaient sur ses habits, amples. Il était beau, il fallait le reconnaître. Mais je n’étais pas capable d’aimer. Je ne pouvais m’attacher à quelqu’un maintenant. Je devais partir. Mais lui, d’une force surhumaine, me retenait, je n’étais qu'à quelques centimètres de la fin, A quelques centimètres de ma liberté. Pendant dix bonnes minutes nos regards ne se quittèrent pas, J’eus le temps d’explorer ses iris noirs, noirs d’espoir. Les miennes étaient emplies de haine. Dans un souffle d’impatience il brisa ce silence : « 365 Jours, Donne-moi 365 jours... Et je te laisserais partir » Il m’avait dit ces mots comme si il était chargé d’une mission. Comme si MA propre vie l’intéressait. Comme si je l’intéressais. Une chose est sur, j’avais beau accepter … Je le Haïssais !