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 Alison Lewis || It's so easy to break my life

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Alison Lewis || It's so easy to break my life _
MessageSujet: Alison Lewis || It's so easy to break my life   Alison Lewis || It's so easy to break my life Icon_minitimeMer 16 Fév - 4:47

.:: Fiche d'Information ::.






Votre Carte d'identité




Alison Lewis || It's so easy to break my life Sanstitre2h

Nom : Lewis
Prénom(s) : Alison
Âge : 17 ans

Sexe : Féminin d'après son carnet de santé, jugez par vous-même !
Orientation sexuelle : Hétéro

Né le : 19 septembre
à : New-York

Métier : Lycéenne

Célébrité sur l'avatar : Michelle Trachtenberg
Groupe Désiré : Patiente



Votre Personnage


.:: Description du Physique ::.




Le physique d’Ali ? Eh bien que vous dire à part qu’il est tout à fait normal et banal. Enfin, en apparence. Alison mesure 1m70, pèse 60 kilos ce qui revient à dire qu’elle n’a aucune graisse de trop. Mince, ventre plat, élancée, elle n’est pas anorexique bien que la drogue qu’elle prend commence à laisser des marques sur son corps. Ses magnifiques yeux verts commencent à être cernés et sont un peu trop dilatés ces derniers temps. Mis à part la jeune femme a des cheveux bruns, bouclés, ondulés qu’elle laisse libre la plupart du temps, une bouche pulpeuse et un sourire adorable qu’elle ne montre pas assez souvent. Elle a des formes féminines et les garçons adorent passer entre ses bras, entre autre chose… Mais sous son apparence correcte, sa peau est marquée de cicatrice causée par son insensibilité à la douleur. Mais ce ne sont que des cicatrices fines et ça lui donne un charme bien à elle. Elle a deux piercings au nombril, un au nez et un tatouage d’ailes de diable dans le dos plus un serpent à la cheville. Tout cela sans l’accord de sa chère mère.



.:: Description du Caractère ::.




Alison est une vraie peste. Il n’y a pas d’autres façons sympathiques pour présenter les choses. C’est une gamine de dix ans qui s’y croit. Arrogante, hautaine, sarcastique, cynique, capricieuse et un brin manipulatrice, sans compter son côté mielleux qui ne se veut pas subtile pour deux sous. Il n’est pas difficile de haïr la brune, elle fait tout pour l’être. Insultes, sarcasmes, critiques, il vous suffit de la voir cinq minutes pour vouloir la mettre à la porte le plus vite et ne jamais la revoir. Pour tout dire, Ali fait exprès d’être insupportable, elle teste les gens, voir s’ils sont sincères. Tout le monde veut l’aider à cause de sa pauvre situation. Alison hait la compassion ou encore la pitié. Elle ne veut pas d’empathie, elle veut des gens qui oseront lui dire, il y a pire que toi. Alors c’est simple, ceux qui arrivent à la supporter valent le coup, les autres ne sont approchés que par pitié, pour ce faire bien voir. Ce n’est pas pour elle mais pour eux, pour que le soir, quand ils se couchent, ils aient bonne conscience, soient heureux. Elle n’est pas un acte de charité, qu’ils aillent se faire voir. Si elle pouvait, elle leur vomirait au visage. Bref, Alison aime être détestable. Elle aime être une peste bien qu’au fond ce n’est pas elle. Elle n’est pas une poupée Barbie, pas une poupée gonflable (quoique des fois on se le demande). Elle a son caractère impulsif, direct. Elle est fière et même si elle avait les deux jambes dans le plâtre, elle voudrait marcher seule ! On pourrait penser qu’elle est forte mais ce n’est pas le cas, c’est faux. Alison est déprimée voir même dépressive, elle aurait besoin de l’aide d’un psy. Pour tester sa résistance à la douleur, elle se laisse se faire battre par des racailles avec qui elle prend de la drogue puis finit par coucher sans protection ou autre. Elle est inconsciente, elle se croit invincible et fait tout et n’importe quoi. Elle se drogue de plus en plus, étant défoncée les trois quarts du temps. Au fond, Alison est juste une gamine qui souffre de ne pas souffrir, qui est solitaire, qui veut juste être aimée pour ce qu’elle est et pas pour autre chose. C’est juste une gamine fatiguée par la vie avant de l’avoir commencée vraiment.





Histoire du Personnage





« Je déteste ma vie. Non, je déteste la vie en général. Je hais l’hypocrisie des hommes. On nait tous libres, égaux et autres conneries de ce genre. Ce n’est pas vrai. On ne nait pas égaux, je ne suis pas née comme tout le monde. La vie est injuste. Une chienne, je la hais. Pourtant, je vais en profiter. Aujourd’hui j’ai 16 ans et je compte bien à dire à tous, à la vie, que je les emmerde. Je veux juste m’éclater et mourir jeune. Je n’imagine même pas vivre vieille, avec « ma maladie », la prudence est de mise et j’ai décidé qu’à partir d’aujourd’hui, je ne serais plus prudente… »
Extrait du journal d’Ali, le 19 septembre, année de ses 16 ans.

Rien n’aurait pu prédire la maladie d’Alison, si on peut appeler ça une maladie. Quand la mère d’Alison tomba enceinte, elle avait trente trois ans. Ses ovules étaient rares et elle était sur le point de recourir à la fécondation in vitro quand son mari et elles ont appris la bonne nouvelle. Elle était tombée enceinte naturellement. Honnêtement, que ce soit naturelle ou pas, Carry s’en fichait. Ce qu’elle voulait, c’était un enfant. Son mari, Franck, était soulagé que l’enfant soit venu naturellement, il était croyant et pensait que si Dieu ne leur accordait pas un bébé, c’est peut-être qu’ils ne le méritaient pas. En tout cas, connaissant les cas de gémellité avec la fécondation in vitro, il était soulagé de n’en avoir que un. Il se trouvait déjà vieux pour être père et il n’aurait pas pensé tenir le rythme avec deux enfants. Les neufs mois de grossesse se déroulèrent à merveille. Pas de signe de maladie génétique ou orpheline, Carry se portait bien, elle n’avait pris que sept kilos, ne souffrait pas d’un mal dos trop douloureux et n’avait presque pas eu de nausée. C’était une grosses idéale, une grossesse dont toutes les femmes rêvent, particulièrement celles qui en était à leur quatrième enfant. Une semaine avant la date prévue de l’accouchement, Carry rentra à l’hôpital pour y accoucher en toute sécurité. Le 18 au soir, le travail commença et Alison vit le jour le 19, à 2 heures du matin et quelques minutes, dans un hôpital de New-York. Le bilan médical du nouveau né fut satisfaisant. 2,978 kilos, 51 centimètres, en bonne santé. On pensait qu’Alison était une de ses enfants qui ne remettrait jamais les pieds à l’hôpital sauf pour une maladie quelconque telle que l’appendicite. Tout le monde se trompait. Car deux ans plus tard, Alison y retournait pour une maladie aussi rare qu’improbable mais pourtant réelle.

Les deux premières années de la vie de la petite Alison se passèrent relativement bien. La gamine apprit à marcher à quatre pattes, à babiller sur tout et sur rien, à marcher et à parler (son premier mot fut chien, autant dire que leur pauvre animal de compagnie se fit moins choyer pendant quelques temps) et à se promener dans la maison. Carry avait pris un congé maternité pour surveiller sa fille, à cet âge là, il faut leur donner toute l’attention au monde. Néanmoins, un jour d’été, alors que la jeune mère étendait son lâche, elle ne remarqua pas sa fille trébucher et tomber au sol, sa cheville se tordant légèrement. Vous me direz, elle finira par le remarquer dès que la gamine se relèvera, commencera à marcher, souffrira et pleurera. Ce ne fut pas le cas. Pas parce que la femme au foyer était une mauvaise mère sans cœur qui se fichait de la santé de son enfant. Elle ne le remarqua pas parce qu’Alison ne pleura pas. Elle aurait dû pleuré, elle aurait dû avoir mal. La seule chose qu’elle ressentit fut une gêne pour marcher mais du haut de ses deux ans, elle ne remarqua pas cela comme un problème et se contenta juste de trottiner un peu moins et de boiter. Ce fut quelques jours après qu’on remarqua l’inflammation à la cheville de la brune. L’articulation était rouge, enflée et certainement douloureuse. Pas un seul instant, les parents ne s’étonnèrent de l’absence de souffrance chez leur fille, la panique les envahit tout simplement et ils l’emmenèrent aux urgences. Quand le médecin l’analysa, il toisa de suite les parents. Ils avaient beau être inquiets, pour que la cheville soit dans cet état, il devait forcément s’être passé quelque chose. Il se promit même d’appeler les services de l’enfance après l’avoir soignée. Bien sûr, il s’attendait à des cris, à des larmes, à devoir immobiliser la petite pour ne pas qu’elle bouge rien. Elle se laissa faire comme si sa cheville n’était pas enflée, que la chose n’était pas douloureuse alors que c’était le cas. Interloqué, voir carrément bluffé, le docteur fit un bandage, préconisa l’immobilisation de la gamine pour ne pas qu’elle marche. Et puis, d’une voix incertaine, l’homme proposa de faire des tests supplémentaires. Pour lui, cet incident n’était pas normal. Les tests, toutes les analyses furent faites et rien n’en ressortit. On déclara donc que ce n’était pas important, une étrangeté qui ne se reproduirait plus. Ce ne fut pas le cas.

Quelques années passèrent, trois exactement, avant que cette « maladie » ne se remanifeste à nouveau. Alison avait grandi, elle n’était plus haute comme trois pommes, pas géante non plus. Une petite fille de cinq avec des couettes. Ce fut pendant un jour d’avril qu’un accident, plus grave, se produit, mettant définitivement l’accent sur le problème d’Ali. D’autres petits signes auraient pu leur mettre puce à l’oreille, une écorchure, une coupure qui ne font pas mal mais non. Qui penserait à ça ? Bref, ce fut un samedi d’avril que tout fut découvert. Alison était dans la cuisine avec sa mère, babillant sur sa super poupée Barbie quand sa mère lui ordonna de se laver les mains pour se mettre à table. La brunette s’exécuta, ouvrant le robinet d’eau chaude et tout en se lavant les mains, elle continua à raconter à sa mère que sa poupée avait les cheveux qui poussaient comme par magie. La femme l’écoutait tout en faisant chauffer la nourriture puis rejoignit sa fille pour se laver les mains, cette dernière les frottant toujours sous l’eau. Mais à peine eut-elle mis les mains sous l’eau que Carry les retira vivement, avec un couinement de douleur. L’eau était bouillante. Elle éloigna rapidement sa fille du robinet, coupant la venue d’eau. Puis elle jeta un regard effaré à la petite. Les mains rouges, brûlées, mais aucun signe de douleur. Elle l’emmena directement aux urgences une fois encore, expliqua à tous les médecins ce qui s’était passé, aucun ne voulant y croire, rationnalisant encore et encore. On fit toute sorte de test à la petite, plus ou moins douloureux, plus que moins, sous les yeux des parents qui vécurent des jours horribles en voyant les médecins faire volontairement du mal à leur enfant. Et au fin, sa maladie fut diagnostiquée : insensibilité congénitale à la douleur. Une maladie plus que rare, dix cas dans le monde tout au plus. On soigne pas cette maladie, ce n’est pas vraiment une maladie d’ailleurs, on ne peut pas en mourir. On ne ressent juste pas la douleur. Et ce n’est pas un don du ciel. On ne ressent rien, pas la moindre douleur, il faut en permanence faire attention si on risque de vraiment se blesser. C’est ce qui arriva à Alison. Malgré tous ses soins, toutes ses attentions, elle retournait sans cesse à l’hôpital. Ce n’est pas un don, c’est une malédiction.

Les années passèrent lentement pour Ali, toutes plus horribles que les autres. Tout le monde la connaissait à l’hôpital, la prenant en pitié, en compassion, elle détestait et déteste ça. Elle haït tous ses endroits parfumés à l’aseptisant et trop blanc. Elle fait tout pour ne pas y aller mais finit toujours par se blesser. C’est un enfer. Ca n’a pas de début ni de fin. A l’école, au lycée, elle était traitée comme une bête curieuse, on la poussait pour voir à quel point elle tolérerait la douleur. L’année de ses seize ans, le couple de Carry et Franck a commencé à battre de l’aile. Carry voulait partir pour Seattle, un endroit moins risqué selon elle. Franck refusait. Ils ont fini par divorcer et Carry a obtenu la garde d’Alison qui a été obligée de partir avec sa mère. Depuis ce jour, Alison a définitivement changé, elle ne voulait pas partir et en veut énormément à sa mère qui en plus d’être mère poule l’oblige à aller à l’hôpital dès qu’elle a une toute petite égratignure. Depuis, Alison est entrée dans un cercle vicieux, elle fait exprès de se blesser, joue à des jeux dangereux, se laisse battre par des connaissances de mauvaise influence pour tester sa résistance à la douleur. Elle joue avec sa santé, elle a même débarqué avec un herpès à l’hôpital, les médecins ne savent plus quoi faire pour elle, juste la soigner. Mais ils aimeraient pouvoir l’aider. Sauf que la brune refuse de se laisser aider.




L'instant RPG





Honnêtement, j'aurais aimé écrire un petit rp sur le coup avec Ali mais je dois avouer que j'ai pas d'idée et pas envie de faire un tout petit truc pas potable alors je vais m'en tenir à là, la présentation me satisfaisant plutôt pas mal xD




Behind The Screen...


Alison Lewis || It's so easy to break my life 59292890
Prénom ou Pseudo : Emma
Sexe et Âge : Fille, 17 ans, bientôt 18 ^^

Comment avez vous connu le forum ? : Par Desperate Housewives Story mais je ne suis pas inscrite dessus ^^"
Comment trouvez vous le forum ? : Le graphisme est tout simplement MA.GNI.FI.QUE.

Quelle est votre disponibilité rp ? : Disponible pour trois rp à la fois ^^

Code de Validation : Ok by Alex


Dernière édition par Alison Lewis le Mer 16 Fév - 7:28, édité 7 fois
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Alison Lewis || It's so easy to break my life _
MessageSujet: Re: Alison Lewis || It's so easy to break my life   Alison Lewis || It's so easy to break my life Icon_minitimeMer 16 Fév - 5:12

Welcome =))
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Alison Lewis || It's so easy to break my life _
MessageSujet: Re: Alison Lewis || It's so easy to break my life   Alison Lewis || It's so easy to break my life Icon_minitimeMer 16 Fév - 5:14

Thanks x)
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MessageSujet: Re: Alison Lewis || It's so easy to break my life   Alison Lewis || It's so easy to break my life Icon_minitimeMer 16 Fév - 6:02

Bienvenue ici !
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MessageSujet: Re: Alison Lewis || It's so easy to break my life   Alison Lewis || It's so easy to break my life Icon_minitimeMer 16 Fév - 6:16

Merciii ^^
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MessageSujet: Re: Alison Lewis || It's so easy to break my life   Alison Lewis || It's so easy to break my life Icon_minitimeMer 16 Fév - 6:40

Bienvenue à toi et merci pour ton inscription Very Happy

Je valide ton code et je serais ravi de revenir pour te valider Wink
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Alison Lewis || It's so easy to break my life _
MessageSujet: Re: Alison Lewis || It's so easy to break my life   Alison Lewis || It's so easy to break my life Icon_minitimeMer 16 Fév - 7:28

Tu peux revenir Alex XD J'ai fini ma fiche ^^

Merci pour l'accueil ^^
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MessageSujet: Re: Alison Lewis || It's so easy to break my life   Alison Lewis || It's so easy to break my life Icon_minitimeMer 16 Fév - 7:46

Et bien pour ma part tout me va Very Happy

Encore bienvenue parmi nous Wink

Alison Lewis || It's so easy to break my life Mamo1010
    Ce que je dois faire :
¤ Signer le règlement (Lien)
¤ Avoir un avatar aux normes du forum : 200*320
¤ Inscrire mon avatar dans la liste des avatars pris du forum (Lien)
¤ Créer ma fiche « Bipeur » pour que je puisse répertorier mes sujets en cours et que l’on puisse me contacter pour tout nouveau sujet (Lien)
¤ Créer ma fiche « Portable » pour que je puisse répertorier mes liens avec les autres personnes du forum et pour que l'on puisse me contacter pour en établir de nouveaux (Lien)

    Ce que je ne dois pas oublier :
¤ Faire un résumé régulier de l’histoire de mon personnage (facultatif) dans mon Curriculum Vitae (Lien)
¤ Répondre au plus vite à mes Rps et rester actif surtout si mon personnage est un Poste Vacant.
¤ Éviter les sujets ayant la balise [HOT] si je n'ai pas plus de 16 ans.
¤ Mes RPG doivent faire un minimum de 10 lignes.

Et surtout bon jeu Wink
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Alison Lewis || It's so easy to break my life _
MessageSujet: Re: Alison Lewis || It's so easy to break my life   Alison Lewis || It's so easy to break my life Icon_minitime

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