Comme toute asiatique, je suis assez typée. J'ai les yeux bridés très sombre, ils tirent vers le noir. Je louche légèrement, mais cela ce voit assez peu au final et cela ne m'empêche pas d'avoir une excellente vision. Toujours sous les traits des asiatiques, j'ai le nez aplati, et le visage assez large. J'ai des lèvres pulpeuses, des dents bien allignées et blanches. Mes cheveux sont noirs comme tout les asiatiques mais à la différence ne sont pas totalement raide, ils se plaisent à former de belle boucles. J'ai la peau assez mate mais tout de même claire. Je mesure 1m70 pour 55 kilo. Question look, je ne regarde pas le beau mais plutot le pratique et le confortable, les jeans et les T-Shirts sont donc mes amis les plus proches.

On ne peut pas dire que je suis quelqu'un de facil à vivre, c'est certain. Je vais essayer de faire du mieux que je peux pour me décrire mais c'est beaucoup plus difficil que de ce décrire physiquement. Pour commencer, je suis quelqu'un autoritaire, je ne laisse pas place à l'erreur et ne supporte par cette dernière. Je suis quelqu'un prête à tout pour obtenir une opération, si il fut écraser quelqu'un pour cela, je suis capable de le faire. Je sais ce n'est pas très glorieux mais je vous dis la stricte vérité. Oui donc je disais, autoritaire et intolérante, oui c'est ce que je suis , vous comprenez donc pourquoi je suis assez difficil à vivre; Mais c'est pas tout, je suis aussi quelqu'un difficilement abordable, j'ai une apparence très froide. Je suis aussi quelqu'un d'assez brodélique mais j'essaye de faire des efforts. Malgré ces gros défauts, et un côté assez pessimiste, j'ai tout de même des qualités. Ma plus grande des qualités, c'est que je suis quelqu'un de fidèle et ne trahirais jamais les personnes les plus importantes pour moi comme Meredith ou encore Owen. Je suis capable de plus belles choses comme des pires pour eux. Je suis assez intelligente et de travailleuse, mon but est de reussir et d'être la première et je m'en donne les moyens. Capable de reconnaitre mes erreurs, je peux me montrer compréhensive. Je suis combative et ne me laisse jamais abattre.

Beaucoup de personne se demande comment on en arrive à devenir chirurgien. Je pense que pour le devenir, il faut avoir vecu quelque chose qui vous pousse à la faire, sinon on a pas suffisament la niaque pour le faire. Pour ma part, j'ai eu cette chose, et pas l'une des plus réjouissante. Je reconnais volontié que c'est mon pire souvenir. J'avais dix ans à l'époque, j'ai vu mon père se vider de son sang en attendant les secours, et j'ai jamais rien pu faire. J'ai ce sentiment de culpabilité qui me pousse à tout faire pour réussir et ne plus jamais me retrouver dans cette situation. Oui, voila pourquoi je suis devenu médecin. J'ai donc suite à cela, suivi des études de médecines. J'ai étudier principalement à Stanford et je suis sortie major de ma pomotion de cette prestigieuse école. C'est là bas, que j'ai rencontré l'une de mes relations amoureuses assez importantes. Oui, j'eu une relation avec l'un de mes professeurs, du nom de Docteur Marlow. Relation qui se termina lorsque j'arrive à Seattle. Je ne sais pas trop si cette relation me manque, je pense que non. Je me demande comment cela se serait terminé si j'étais resté à Stanford. Mais là n'est pas la question. Une fois arrivé à Seattle, je dis la rencontre de Meredith qui devins rapidement ma meilleure amie. Nous nous sommes toujours soutenu, que ce soit pour les plus grandes joies et les épreuves les plus difficils. Et des épreuves difficils, j'en ai vecu quelques unes à Seattle. Je m'explique, au Seattle Grace, j'ai fait la rencontre du docteur Preston Bruke, encore un professeur. Nous sommes rapidement devenu très proche. Je tomba enceinte de lui mais ne je voulu rien lui dire et pris rendez vous pour un avortement. Mais faisant une grossesse extra utérine, je fis une hémoragie avant. J'ai fais un énormement travail sur moi même pour qu'il m'accepte. J'alla finalement vivre chez lui. Je fus son plus grand soutiens lors de sa réeducation. Oui, il avait été blessé par bal et avait des problèmes de tremblements à sa main suite à cela. Il m'avait même demandé en mariage. Tout était pret, et le jour J, alors qu'il attendait devant l'autel et moi dans le couloirs, cherchant à me souvenir de mes voeux alors que je n'avais plus de sourcils. Il vint et me dit que tout était terminé, qu'il préferait me quitter par qu'il m'aimait. Je fus détruite par cela et Méredith fut la pour me soutenir. Je mis longtemps à me remettre de cette relation, Burke ayant disparu de l'hopital. Mais l'amour revint frapper à ma porte en la personne d'Owen Hunt, un militaire. Je tomba rapidement sous son charme, ce chirurgien traumatique était si viril. Après un baiser echangé lors de sa permission, il est revenu à Seattle comme étant le nouveau chirurgien traumatique de l'hopital. On sorti rapidement ensemble. Et malgré les épreuves que nous endurons, suite à ces traumatismes de la guerre, je fais tout pour que cela dure entre nous et l'aide du mieux que je peux.

Une journée comme les autres commençait. J'allais aller au boulot comme toutes les jours, j'allais opérer, manger et vivre des choses excitantes au blocs, j'allais apprendre et devenir meilleure. Mais une chose était différente, je m'étais reveillée seule. C'était comme cela depuis quelques jours. Pourtant je n'étais pas célibataire, je sortais avec Owen... c'était justement cela le problème. Owen était devenu violent ces dernies temps, il en était conscient et ce n'était pas volontaire. Il ne voulait pas me faire du mal, mais c'était plus fort que lui dans son sommeil, il repensait à la guerre, à l'horreur qu'il avait vu en Irak. C'est comme cela, que je m'étais reveillé avec des mains puissantes autours de mon coup m'empechant de respirer. Ce jour là, heureusement que Calliope dormait dans la pièce à côté et qu'elle reussit à le reveiller. Bien que je lui faisais confiance, il avait compris que j'avais peur de lui maintenant. Comment réussir à dormir à côté d'une personne qui pouvait vous tuer sans vous en rendre compte. Conscient de cela, il s'était éloigné de moi. Je ne savais pas comment faire pour l'aider, je me trouvais impuissante. Il fallait que j'arrive à l'aider, c'était mon role. Je l'aimais et cela me faisait du mal de le voir dans cet état. Il falait trouver une solution... et voir un psy même si je n'aimais pas cela serait peut être la solution. Oui, je me leva se matin seule, je pris mon petit déjeuner seule et pris la route seule. Mais au fond de moi, je savais que nous allions surmonter cela, que je finirais par ne plus avoir peur et qu'il finirait par réussir à ne plus penser à l'Irak comme il le pense en ce moment.