J'ai été élevé dans une famille aisée de Boston. Mon père était un psychologue qui passait son temps à analyser notre famille et ma mère une mère au foyer. Mon début d'enfance était parfaite. Fille unique ma mère s'occupait de moi en permanence et mon père lorsqu'il n'avait pas de patient. Il a toujours été un modèle pour moi jusqu'à l'âge de 14 ans. Oui car à l'âge de 14 ans, mes parents se sont déchirés et mon père est partie avec une patiente laissant ma mère et moi seule. Bien qu'il continuait à s'occuper de moi lorsque je venais le week end, ma mère elle était devenu une loque, elle ne faisait aucun effort et est partie en dépression. Au fil des années, ma mère fini par s'en remettre au moment ou j'allais le plus avoir besoin d'elle. Mon admiration pour mon père bien que diminuer par son comportement envers ma mère était toujours aussi forte. C'était probablement la personne que j'aimais le plus au monde mais à l'âge de 16 ans, il eu un accident de voiture qui lui fit perdre la vie, lui et sa nouvelle femme. Ce fut à mon tour de tomber dans une dépression dont j'ai eu du mal à me sortir. Ce fut à mon tour de voir des psychologues, j'étais totalement indifférente face à ce qu'il se passait dehorsj'étais devenu agressive et rejeter tout. Mon psy me convaincu que je devais faire honneur à la mémoire de mon père. Et c'est pourquoi je commença des études de psychologie avec un an d'avance. Peu à peu au fil des années, je repris ma joie de vivre d'avant l'accident de mon père. Par la suite, il y a peu ma mère venait de tomba malade qui fut diagnostiquer par un cancer foudroyant et disparu en quelques semaines. Le choc fut dure et je recommença à suivre une psychothérapie avec un nouveau psychologue. J'eu par la suite mon diplôme et commença à exercer. Je me rapprocha trop de mon thérapeute et fis quelque chose de typique, une grosse erreur pour un psychologue, je fis un transfert sexuel ce qui signifiais que j'étais tombée amoureuse de lui. Je ne savais pas si cela était la cas, pour lui, j'essayais de m'en convaincre mais je n'avais pas le courage de lui avouer mes sentiments. Lorsqu'il me dit qu'il allait déménager lui, sa femme et ses enfants à Seattle, je décida de partir aussi là bas. L'occasion de pouvoir rester avec lui et aussi d'oublier les fantômes du passé qui me hantaient à Boston.