J'étais de garde cette nuit et à vrai dire j'ai fait deux gardes de suite ce qui vraiment me fatiguait mais après tout j'avais choisi de faire ça et personne ne m'a obligé . Alors que ce matin je m'occupais des candidatures pour un stage pour les internes comme d'habitude mon avis avait de l'importance et je pouvais conseiller au moins cinq internes qui méritaient ce job bien entendu je mis Pearl en tête de liste pas seulement parce que c'était mon amie mais aussi parce qu'elle le méritait , elle travaillait aussi dur que les autres donc je n'appelle pas ça du favoritisme car je savais qu'elle pouvait faire de grandes choses ... Bref il était maintenant près de 14h 00 que je vis une chambre vide , je mourrais de fatigue et j'avais besoin au moins d'une heure de sommeil , alors je fermais mes yeux afin de dormir ... Cela c'est fait tellement facilement . J'étais vraiment dans un autre monde . Il vaux mieux pas que je vous raconte mon rêve ! Allez je vais le faire , c'est bizarre mais pour la première j'imaginais moi avec Pearl en couple celle ci m'attendait en petite tenue chez moi et on avaient passé une bonne petite heure à s'amuser , et c'était plus qu'une simple aventure droite à gauche je me sentais bien quand je la serrais dans mes bras , une sensation qui me faisait bizarre car j'étais de trois ans son ainé de plus je ne savais pas si cela allait se reproduire je ne penses pas ... Alors que je me retournais je voyais Pearl en face de moi , elle avait l'air très énervée mais ne pensant que ce n'était juste suite à mon rêve je refermais les yeux mais apparemment ça c'était bien réel . Je me demandais si elle savait le rêve que je viens de faire c'était assez embarrassant , donc je me levais car elle me forçait à le faire elle faisait du bruit avec ses légers talons . Bon sang ! Je ne pouvais pas dormir tranquille j'étais crevé elle pouvait comprendre ça mais plus que ça je travaillais au moins deux fois plus qu'elle

- C'est si urgent que ça ?

Je le demandais car si ça ne l'était pas je voulais dormir , je m'étais débarrassé de mon travail , j'avais au moins deux heures devant moi et j'en avais bien besoin mais je la connaissais quand elle reste jusqu'à me réveiller c'était parce que c'était urgent ou parce qu'elle m'en voulait . Je ne pense pas qu'elle m'en voulait car elle n'aurait jamais pu savoir que je lui ai donné un coup de pouce pour le stage mais après tout , tout le monde reverrait de ça mais Pearl était assez compliquée dans son genre elle voulait mérité son travail et non le gagner ce qui était différent . Je comprends cela mais un coup de main de temps en temps ne peux faire de mal à personne . Je lui souris donc et me levait et vit son regard assez énervé et je repondis :

- Que se passe t'il ?

Un petit rictus lorsque je vis que l’on m’avait choisi pour le stage alors que j’étais persuadé que cela ne serait pas moi qui serais prise, je suis nouvelle et pour moi, je ne suis pas la meilleure. Peut-être était-ce par ce que je ne voulais jamais me tromper et que j’étais un peu perfectionniste ? Mais aussi par ce que j’avais peu confiance en moi, il faut avouer que c’est comme ça la plupart du temps, je veux faire bien alors au final, je n’aime pas ce que je fais car même si je cherchais la perfection, je ne suis pas certaines, j’ai peur de ne pas être assez bien pour ce stage, j’ai peur de louper tout et j’ai peur que… c’est à cette instant que je passais devant la porte de la cafétéria entendant alors que Cooper m’avait peut-être pistonné, d’un rictus qui laissait surtout un juron en italien… je prenais de suite une couleur rouge, celle que l’on connait d’être la couleur de la colère ou bien de l’amour mais je vous rassure, c’est la colère. Ou était ce sombre crétin ? Je ne savais pas mais je le trouverais. Abandonnant alors l’idée d’un café pour réfléchir à cette occasion que l’on venait de m’offrir, je ne pouvais m’empêcher de me demander dans quel délire, il était.

Rien qu’une fois dans ma vie, j’aimerais accomplir un truc sans avoir l’argent de mon père ou d’autres choses du genre ou du moins faire un truc par moi-même… hormis monter un escalier. Je ne savais pas réellement ce que j’allais faire mais bon… je voulais accomplir un seul truc par ce que je le pouvais et par moi-même. Grognant contre moi-même tout en cherchant après lui dans chaque recoin de l’hôpital suivant son emploi du temps à la trace, je le vis alors en passant devant un chambre vide, vide… oui et comme ça en plus, il utilisait les lits vides ? On ne dort pas au boulot mais bon, je pouvais le comprendre car il bossait dur… mais mince, pourquoi je reprenais pour lui afin de lui trouver encore une fois, une excuse ? J’ouvris délicatement la porte surement pour ne pas le réveiller. Et merde… pourquoi voulais-je ne pas le réveiller ? C’est alors qu’un peu plus fort, je reclapais la porte… j’avais beau être en colère cependant je ne voulais pas aller trop loin, c’est con et puéril mais bon, je suis comme ça.

_ Et voilà qu’il dort encore… soupirais-je alors. Pire qu’un bébé et il veut aussi le biberon.

Il dormait encore quand je venais de parler mais bon, il fallut peu de temps avant qu’il ouvre les yeux laissant alors ses pupilles vers moi ensuite vers mes talons qui martelais le sol comme pour dire… « eh oh… je suis là ». Il me demandait alors si c’était tellement urgent mais que pouvais-je dire ? Oui, non ? Alors le regardant dans les yeux et forçant le regard, je grognais en mettant alors mes mains sur mon front comme par exaspération. Il finit par me demander ce qu’il pouvait bien se passer et je lui souris, ironiquement bien sûr.

_ Je ne sais pas moi mais peut-être que je pense que tu me favorises un peu trop. C’est quoi ce délire, maintenant tu me pistonnes. Tu as tellement peu confiance en moi, tu ne crois pas que je suis capable de faire mes preuves sans ton aide ?

Je voulu soudainement faire machine arrière et quitter la pièce, lui tournant le dos et retournant vers la porte. Pourquoi étais-je venu ? Je ne savais pas réellement mais il ne m’aurait sans doute pas écouté, je devenais folle.

Cela se passera t'il un jour que je puisse dormir tranquille sans mon bipeur ou quoique ce soit dans le genre ? Je ne pense pas parce que malheureusement j'avais choisi ce type de vie je ne pouvais que m'en prendre à moi même malheureusement . Donc je me levais alors qu'elle était en face de moi j'étais maintenant assis en me frottant les yeux mais que veut-elle ? Je ne savais pas trop ... Mais je sentais que je n'allais pas tarder à le découvrir . Pour moi cela était impossible qu'elle sache que je l'avais mis en avant car c'était assez confidentiel les choix que je faisais ce que je ne m'étais pas dit c'était que Pearl était une femme très maligne et peux facilement comprendre . J'avoue que sans cela elle n'aurait pas été prise car elle était nouvelle mais ouvrons les yeux ça ne peux que leur prouver ce qu'elle est une femme remarquable qui est capable de faire beaucoup de choses . Je l'entendais , elle était vraiment énervée , elle avait toujours sa petite touche personnelle , à chaque fois qu'elle me voyait dormir elle me disait cette phrase qu'elle avait le don de prononcer "Et voilà qu’il dort encore… alors. Pire qu’un bébé et il veut aussi le biberon." une phrase qui lui ressemblait beaucoup . J'aimais beaucoup Pearl et je croyais en elle c'est parce que je croyais en elle que j'avais fait ça ... Non par seul profit quoi ! Je l'écoutais encore et encore quand elle est énervée rien n'est prêt de se tasser aussi facilement . J'étais dans les vapes mais je saisissais tout de même ce qu'elle disait je devais ... Parce qu'elle m'accusait et je devais trouver un bon argument à lui proposer non mais qu'est ce que je dis pas qu'un seul mais plusieurs car Pearl n'a jamais été facile à convaincre ça faisait parti de son charme

- Écoute , je ne voulais le faire que pour t'aider ... Pas parce que je ne crois pas en toi

Je me levais du lit brusquement j'étais en blouse blanche et je la regardais comme jamais je ne l'avais regardé j'avais tout à coup envie de lui dire certaines choses je n'aimais pas la voir comme ça se rabaisser , croire qu'elle n'était pas capable et que sans moi elle arriverait à moi ce n'était que mensonge , Je n'appelais plus du favoritisme tellement elle méritait ça et que je croyais en elle c'était seulement un coup de pouce entre amis enfin peut être était elle un peu plus que ça ? Car en voyant la profondeur de ses yeux je m'y perdais donc je mis mes mains au niveau de ses bras et reprit :

- Tu rigoles ? Tu mérites beaucoup mieux que les autres internes qui se préoccupent plus de leur coiffure que de leur job . Tu es surement nouvelle mais tu es intelligente , super , gentille et ça c'est des qualités dont a besoin un chirurgien , tu crois encore que je te favorise en te disant ? Tu crois que mes critères changent quand il s'agit de toi ? Pas du tout ... Si on s'est entendu c'est parce que tu me rappelles moi alors que j'étudiais alors si tu t'attends à ce que je t'explique pourquoi je t'ai mi en tête de liste et pas l'autre écervelée je peux continuer encore toute l'après midi

Je souriais ça faisait peut être un peu trop , c'est bizarre mais une certaine attirance s'est réveillée peut être que c'était depuis le début et j'avais refusé de le voir ? J'avais peur de la suite mais je savais que si elle était à mes côtés tout se passera bien...

Il ne voulait pas m’aider ? Etrange car j’en avais l’impression, il savait que je le voulais, oh oui, je le savais qu’il le savait et je devais sans aucun doute me montrer comme ça. Un rictus alors que j’étais choqué, je ne savais pas quoi dire ou si je devais le croire… devais-je ? Croyez-vous que je devais oser le faire ? Le croire, je ne savais pas et je ne savais même pas croire en moi alors croyez-vous que j’oserais croire en lui ? Bonne question. Un rire stupide causé par mon don d’être lunatique mais surtout par ce que j’étais ironiquement amusé. Pourquoi devais-je tout compliquer ? Je ne sais pas mais une fille normale aurait dit « merci » et aurait même fait plus mais je ne savais pas réellement ce que je devais en penser et pour moi c’était trop, je voulais vraiment réaliser une action de mon propre chef et le mériter, si cela aurait été par quelqu’un d’autres… ça se trouve, je l’aurais bien pris !

- Tu crois en moi ? Tu crois en moi ? Mais arrêtes, je sais que tu as surement pensé par amitié avant tout, je le sais car tu es trop gentil avec moi. Pourtant j’aimerais te croire mais je ne pense pas être meilleure.

Il avait posé ses mains sur mon bras et rien que le touché me fit frissonner, c’était rare mais pourtant je n’en pourrais faire autrement, il y avait bien plus et je le savais sans le savoir en fait, je voulais être dans le déni, je l’étais peut-être mais j’étais peu forte pour ignorer l’attirance. Mais il se mit à me complimenter. Etais-ce bêtement pour me rassurer ? Ou pour me calmer, je ne savais pas vraiment et cela ne suffirait pas peut-être ? Encore toute l’après-midi ? Pouvait-il encore en trouver des arguments ? Était-il sincère. Tous les hommes mentaient une fois, de temps à autres… mais pourquoi devais-je sentir qu’il disait la vérité néanmoins me dire qu’il voulait simplement me calmer pour éviter les crises. Que devais-je dire ? Que devais faire ? Je ne savais pas et je perdais mes pensées parmi d’autres comme une folle, je regardai soudainement le plafond étant surprise de vraiment douter mais pourquoi doutais-je ? Par ce que j’aurais peut-être osé le favoriser pour être avec lui, un peu plus et encore plus sans vraiment avouer qu’il y avait bien plus que de l’amitié.

- Ah oui ? Et qui me dit que tu es sincère ? Non mais je ne suis pas dupe, je sais que par amitié, on peut faire des actes pour nos amis et les mettre en avant, je l’aurais fait pour passer plus de temps avec toi, ne me dit pas que cela ne t’avait pas traversé l’esprit car je ne suis pas plus doué qu’une autre.

Non d’un chien, c’est vrai quoi, je ne savais rien… je ne savais pas vraiment ce que je devais faire, trouver une chose qui me dise que je méritais ça, une chose qui me disait que j’avais vraiment réussis par ce que je le pouvais, par ce que je le méritais et non pas par ce que j’étais pistonné néanmoins, j’étais heureuse d’avoir été favorisé, c’est con hein ? En colère, heureuse et pourtant tellement troublé.

_ On n’aurait jamais dû penser à bosser ensemble, j’aurais dû aller à New-York comme mon père le voulait… j’aurais dû et nous n’aurions pas cette crise.

J'avoue que je m'attendais à une réaction plus gentille , après tout je l'avais aidé et elle savait que ce n'était pas parce que je ne croyais pas elle elle mais pour une tout autre raison , j'adorais sa façon de s'occuper des malades , d'être toujours là pour eux ... Un médecin doit être comme ça , doit mettre le patient en confiance ses patients et ne jamais être pessimiste . Toujours leur donner espoir et de leur faire croire qu'il y aura toujours une solution et cet instinct elle l'avait pourquoi compliquait - t- elle la chose ? Elle était choisie elle n'avait maintenant qu'à faire ses preuves mais cela me blesser un peu qu'elle ne me fasses aussi peu confiance lui ai je déjà menti ? Je me sentais vraiment offensé parce que j'avais toujours été franc avec elle , je ne suis pas du tout avec tout le monde je préfère cacher ce que je pense mais bon je ne savais plus quoi faire réagir mal lui dire tout ça ... Ou au contraire trouver d'autres arguments et fallait que je me creuse encore plus la tête ? Quelque part j'avais envie de rire parce que Pearl avait toujours eu ce dont de se trouver toujours inférieure aux autres . Je ne vous mens pas il y a pas mal de personnes qui bossent à fond pour avoir leur diplôme mais elle , elle avait une chose que personne n'avait une touche personnelle qui me plaisait et certes même si on seraient pas meilleurs amis j'aurais ressenti ça car sans vouloir me vanter j'arrive bien à cerner les personnes voila pourquoi je l'avais mis en tête de liste et pas une autre . Je n'ai pas trop d'explications à donner a part que je voulais la choisir pas par sa beauté qui me donnait envie des choses pas très catholiques je l'avoue mais parce que je croyais en elle plus que quinconce . Elle était en face de moi disant qu'elle se demandait si j'étais sincére depuis le temps qu'on se connaient elle osait dire ça ? Un certain doute s'installe mais s'évapora parce que je connais Pearl et elle est du genre tête en l'air donc pour lui repondre je lui dis :

- Oh ! Maintenant je te mentirais ? Je n'arrives pas à ce que tu ailles jusqu'à douter de ma sincérité que j'ai eu de puis le début ? Tu crois que tu n'es pas plus douée qu'une autre tu n'as qu'à laisse tomber je pense que tu as trop peur de montrer de quoi tu es capable.

Je ne voulais pas être blessant... Loin de moi cette idée mais il fallait qu'elle se réveille et qu'elle se dise que je ne l'ai pas choisi pour autre chose que le travail j'étais quelqu'un de très professionnel qui laisse pas sa vie privée interférait d'ailleurs j'étais un peu plus tendre avec elle non pas parce qu'elle était mon amie mais aussi parce qu'elle était nouvelle , elle avait besoin de soutient .

- Tu veux aller à New York ? Je ne peux pas t'y empêcher a parement mais réfléchis que si tu serais pas venu ici on seraient pas aussi proche , quand tu n'es pas bien je suis là et inversement . Sans toi je pense que je serais vraiment mal j'ai enchainé deux gardes mais je savais que j'allais m'en sortir car quand je te verrais tu me ferras changer les idées alors si tu veux partir vas y ... Mais réfléchis à ce que tu laisseras après toi ! Alors s'il te plait ne t'en va pas ...

Je ne sentais pas être très convaincant mais j'aurais au moins essayé , je voyais ses yeux miroitant ce qui me faisait sourire car j'aimais la rendre heureuse que ça soit en étant son ami ou autre .

Qu’allais dire ? Qu’allais-je faire ? Au fond, je me disais bien qu’il devait être sincère mais le fait que je sois dans le doute de mes compétences ne pouvait qu’entraver mes idées, mes pensées et tout ce qui pourrait me rendre nerveuse et tout ce qu’il fallait était bêtement que je prenne confiance en mes dons, mes talents mais avant tout le fait que je pouvais l’avoir fait grâce à moi-même et pas grâce à lui. Difficile à faire mais bien plus facile à dire. Je ne savais point si je devais dire « Je te crois et merci » ou encore partir… je ne savais pas et je ne savais rien mais j’avais tellement de choses dans la tête qui me disait de foncer depuis que je le connaissais. Doutais-je tellement par ce qu’au fond, je savais qu’il y avait bien plus qu’une amitié entre nous ? Je ne sais pas néanmoins c’est tellement compliqué d’avancer dans ce cas, que devais-je choisir ? L’amour et l’indépendance ? Et encore une fois, je pensais tellement que je changeais complétement de sujets, je le savais et c’était encore et toujours mon côté lunatique qui frappait, le pauvre. Pourquoi me mentirait-il ? Il avait raison, il n’avait rien à gagner et rien à perdre avec de bêtes compliments sur mes compétences enfin il savait que même si il m’avait prise par amitié, je ne serais fâché que tellement peu de temps qu’il oublierait déjà pourquoi je l’étais, deux jours ? C’est tout et tout serait comme avant ce qui veux dire… doutes sur nos relations à savoir ce que nous étions l’un pour l’autre. Des amis ou bien plus ? Moi-même, je veux le savoir si vous avez la réponse. Je ne répondis pas directement le laissant continuer et disant que je pouvais très bien partir à New-York, il savait bien que je ne serais jamais partis et que je ne partirais pas car il est là et pas là-bas, ce qui est logique. Je ne pouvais pas aller dans une ville ou la personne qui me retient ici n’y est point. Il était stupide de croire que je l’aurais fait sachant que je n’ai douté que pendant 2 secondes de mon choix. Devais-je réagir ? Je ne savais pas mais partir ? Jamais, je ne partirais que par obligation lorsque mon père aura réellement besoin de moi.

_ Arrêtes, tu es stupide… tu sais très bien que je ne partirais jamais et c’est j’en suis certaine la raison qui fait que tu me dis de partir si je le veux. Je sais qu’au fond, tu pensais bien faire et j’en suis sûr mais c’est moi le problème, c’est toujours moi. Rien qu’une seule fois, j’aimerais accomplir quelques choses ou qu’une chose se produise par ce que je suis une fille comme une autre, pas par ce que je suis ton amie et que l’on tient à cette amitié ou pas par ce que je suis la fille de mon père et qu’il veut le meilleure pour son enfant unique. Rien qu’une seule minute, j’aimerais être vu comme une des filles que tu croises sans même les connaitre.

Je ne savais même plus si je parlais du même problème ou si j’avais été cherché un autre problème, celui de franchir les frontières entre l’amitié et l’amour. Pouvais-je au moins trouver la réponse ? Non, je ne savais pas réellement si j’allais al trouver ou même pouvoir la trouver mais j’attendais une réaction, un signe tandis que rien n’arrivait, je me laissai écarter en rattrapant à nouveau la clinche de porte. Tout en l’a tournant légèrement. Dieu que je rêvais qu’il me retienne mais on n’a jamais ou presque jamais ce que l’on veut ? Le pire était qu’il savait que si je partais, je finirais par revenir vers lui tôt ou tard. J’aspirai un bon coup alors que la porte allait commencer à s’ouvrir.

L'entendre dire qu'elle ne voulait pas partir donc il y avait au moins une chose qui la retenait ici me faisait plaisir car elle voulait rester avec moi , elle aimait rester avec moi et j'avoue que sur ce coup elle m'a prouvait qu'elle tenait à moi et ses yeux me regardaient d'un air assez bizarre mais si attachant . Ce regard je n'arrivais pas à identifier lequel mais je ne savais pas ce qu'elle ressentait pour moi ni moi pour elle c'était assez confus entre amitié et amour . Ce qui est dur c'est que l'amitié peux se transformer en amour mais rarement pour le contraire . J'avais peur de lui faire part de mes doutes car si ça se trouvait elle ne me considérait comme son grand frère qui était là pour la protéger de n'importe quel danger . D'un gars qui sera toujours là pour elle mais sans plus , je me faisais surement beaucoup trop d'idées en me disant qu'elle me considérait qu'en ami ? Elle aussi avait elle ce doute ? Je ne pouvais pas savoir mais il n'y a qu'un moyen pour le savoir vraiment l'embrasser mais cela est ce que j'aurais le courage de le faire ? Je n'avais aucune raison mais la toucher , la rassurer avec des mots doux m'avait il envie de le faire ? Mais attendez je dérape complètement de sujets ... Le sujet était son manque de confiance en elle mais qu'est ce que je faisais ? Je mélangeais mes sentiments "potentiels" avec ma relation professionnelle et les raisons pour laquelle je l'ai recommandé elle et pas quelqu'un d'autre j'allais vraiment à coté de la plaque ... Cela me décevait de ma part car je n'étais pas du tout comme ça était ce l'amour qui me changeait ? Je ne pense pas du moins je n'étais même pas sur de l'être . Etait ce une preuve ? Je ne savais plus vraiment où j'en étais

- Alors s'il te plait , crois en toi parce que tu es mieux que quinconce et surtout plus forte que n'importe qui dans cet hôpital ...

Je ne voulais pas mais mon impulsion de l'embrasser me dépassait , alors je déposais mes lèvres toutes fraiches sur les siennes et l'embrassait fougueusement et aussi sensuel que je pouvais était ce une erreur ? Allait-elle me rejeter ?je ne savais pas ni rien d'ailleurs quoi ! Alors je décollais mes lèvres attendant de voir sa réaction allait-elle me repousser ou prolonger le baiser qui fut plus que bon ...

Alors que j’allais partir, il me demandait de croire en moi… chose simple, croire en toi alors que même ta mère ne t’aimait pas au point de partir et quitter la ville alors qu’on ne dit même pas encore les milliers de mots importants comme Bonjour ou Je t’aime ? Je ne savais pas encore le dire quand ma mère m’a quittée et elle est maintenant dieu ne sait où, heureuse ? Je ne savais pas si elle était et je maudissais le jour où elle pourrait sourire en me revoyant. Pour moi, je crois que mon manque de confiance en moi viendra toujours de là, de l’abandon d’une mère. Se demandait-elle ce que je pouvais être maintenant ? Comment je vis et ce que je suis devenu ou m’aime-t-elle tout simplement ? Je pourrais la maudire à vie mais cela ne répondra jamais à mes questions, je serais toujours dans l’ignorance mais je n’ai jamais dit que je savais que mon manque de confiance en moi venait de là, jamais et peut-être que je ne le dirais jamais. Plus forte que n’importe qui ? J’aimais pouvoir l’entendre mais jamais je ne le dirais car au fond, je cache bien plus de peine face à l’absence d’une mère néanmoins, je ne le dirais jamais, oh non jamais pour moi, une fille a toujours besoin de sa maman mais quand je vois des amies qui contact leur mère pour parler du nouveau garçon qui est dans leur vie, je me dis… un jour peut-être ? Ou jamais et je sombre dans une mini mélancolie. Est-ce que c’est la raison qui fait que je n’arrive jamais à tenir dans un couple assez longtemps que pour pouvoir entendre les mots « Je t’aime » ? Elle est bien partie trop tôt de ma vie pour que je puisse lui dire donc peut-être est-ce que c’est la raison ? Avec elle, serais-je surement plus sur de moi ?

Alors qu’il me regardait tourner le dos, oh dieu que je voulais qu’enfin il me regarde comme une fille qui n’est pas sa meilleure amie et qu’il me dis qu’il m’aime, je le voulais mais le ferait-il ? Un jour. C’est alors qu’il m’attrapait le bras et me retournait vers lui en posant ses lèvres sur les miennes et m’embrassant que je me demandais aussi qu’elle mouche lui piquait. Non mais même si j’étais soudaine un peu plus rassuré ou peut-être pas car si il m’aimait plus qu’en amie, ne serais ce pas la raison pour laquelle il me favoriserait dans le boulot ? Et voilà que je perds encore un peu de confiance en moi. Le pire était que je ne repoussai pas son baiser et même, je le prolongeais tout en me demandant pourquoi il avait fait ça mais il me retenait, il me montrait qu’il tenait à moi ? Je me posais tellement de questions et pourtant, je ne repoussais pas ses attentes enfin si on veut, je ne sais pas si il attendait quelque chose mais je pense que c’est l’expression, non ? Je finir par m’éloigner un peu et prenant du recul pour ne toujours pas lâcher le clinche de la porte que je tenais toujours entre ma main droite… Allais-je la lâcher un jour, je me mis contre la porte en le regardant dans les yeux, j’aurais aimé savoir ce qu’il pensait et j’avais un regard qui pouvait laisser croire que je tentais de déchiffrer ses pensées, chercher à savoir ce qu’il avait dans la tête et si c’était du sérieux ou juste un jeu pour lui, jouait-il avait mes sentiments ? Je ne savais que dire ou que faire mais je ne lâchais pas cette poignée de porte et me contentait bêtement de le regarder en attendant un signe ou une parole mais rien. C’est alors que sans comprendre, j’ouvris la bouche… pour dire des mots… (la feinte).

_ Je t’aime.

C’est alors que je me rendis compte que j’allais surement trop vite mais c’est tout ce que j’avais réussis à dire et je ne me retenais pas de le dire depuis longtemps mais on va dire que je ne voulais pas l’admettre depuis longtemps, perdu entre l’amitié et l’amour… tant de questions, tant de réponses et les réponses n’arrivaient que maintenant alors que je me rendais compte qu’il pourrait avoir peur et que je n’avais pas de réponses… mes yeux était humide, je pense que l’on qualifie cela par les larmes aux yeux et c’était bien trop éprouvant de ne pas savoir sa réaction que même avant qu’il réponde et de lui laisser le temps, je pris peur et ouvris légèrement la porte tout en regardant ma main et quittant son regard.

Je la connaissais , je me connaissais en gros je nous connaissais et je voyais très bien que depuis que sa mère l’a laissé tomber elle avait du mal à se faire confiance … Vous vous demandez comment je sais ? Bah je vous dirais que je connaissais sa vie et c’était surement ça qui m’attirait pas la tristesse qu’elle avait mais … la force qui résidait en elle , elle était forte et ne se plaignait jamais surtout quand elle travaillait de plus elle était si belle , de belles boucles brunes quelques fois alors que des cheveux très lisses et beau . La voir devant moi c’était différent pour la première fois de toute ma vie je l’avais vu autrement , le faite qu’elle se dénigre comme ça avait réveillé mes sentiments que j’enfouissais tout au fond de mon être … Mais qui disait les cacher ? Peut être que je le savais mais que j’avais extrêmement peur ? Avouer ses sentiments n’est jamais facile surtout lorsqu’on connait une personne qui est devenue votre meilleure amie … Entre Amour et Amitié la liaison entre les deux n’est pas toujours facile à définir . Je souriais donc devant elle j’étais si heureux qu’elle prolonge le baiser ? Je me demandais si ce n’était qu’une simple envie ou qu’elle voulait me dire qu’elle aussi voulait m’embrasser encore , encore et encore comme l’on a envie d’embrasser quelqu’un qu’on aime ? Notre relation a toujours été compliqué pour ma part car un jeu de séduction s’installait mais rien de vraiment flagrant … Quelques regards complices , j’avoue que lorsqu’elle était en maillot ou qu’elle portait un récolté je ne pouvais m’empecher de voir son corps de rêve ! Oh bah oui j’étais tout de même un mec , donc je ne savais pas je l’embrassais toujours encore et encore mais elle décollait ses lèvres . Pourquoi faire ? Pour me dire que c’était une erreur et qu’on ne devraient plus jamais refaire ça ou au contraire me dire qu’elle avait tant rêver ça mais je me faisais peut être trop d’idées vous ne trouvez pas ? Pendant quelques minutes alors qu’elle me tournait le dos mon cœur battait la chamade , je me posais tellement de questions je pense que je n’ai jamais eu aussi d’émotions en même temps pour une fille c’était comme même grave ? Enfin pas grave … Mais disons que pour un mec c’était comme même assez dévalorisant surtout quand ce n’est pas réciproque . Prenez un exemple les chagrins d’amour sont montrés par les filles avec de gros pots de glace devant un film d’amour entrain de pleurnicher nous ce n’est pas pour nous tout ça , mais ça ne veux pas dire qu’on ne souffre pas ? On doit pleurer pour exprimer nos sentiments ? Je ne trouve pas du tout … Car certains sont plus faibles que d’autres donc ne jugez jamais , mais je peux vous promettre que c’est plus dur pour nous les mecs . Bref vous allez surement pas nous croire et dire que nous sommes plus forts donc ce n’est rien … Détrompez vous . Bon j’arrête de parler parce que je pourrais finir par vous écrire un roman et c’est surement ce que vous voulez éviter je le sais . Quand Pearl se retournait et me disait ces seuls mots « Je t’aime » c’était je pense la délivrance

- Je t’aime aussi ma jolie …

On allaient surement trop vite je l’avoue mais c’était les mots qui arrivaient à sortir , c’était comme un automatisme … Je la connaissais maintenant assez pour savoir qu’elle le pensait . Je m’avançais vers elle et l’embrassait en la plaquant délicatement sur le mur et reprendre :

- Ça fait tellement longtemps que je voulais te dire ça …

Je venais de dire « Je t’aime » après que nous échangions un baiser et un regard, c’était beaucoup ? Je l’avais peut-être fais bien trop tôt ? Je voulais me dire qu’il allait dire moi aussi mais je ne savais pas ce que serais sa réaction. Je n’ai jamais dit les mots délicats que je viens de lui dire à d’autres hommes sauf mon père et vous voyez le genre, ce n’est pas vraiment pareil car l’amour d’une fille à un père et d’une femme à un homme est complétement différente déjà mais tout autant importante néanmoins différentes. Il est certain qu’un homme n’est pas comme un père et puis je n’ai jamais embrassé mon père comme nous venions de nous embrasser. Je n’avais pas de mère ou de tantes pour me dire comme je devais dire à un homme que je l’aimais mais mon expérience dans la société et les dits de gens puis mes lectures de magazines et les divers films que j’avais vu me montrait qu’il était chaud de dire aussi tôt « je t’aime ». Je ne pouvais me résoudre à savoir si j’avais fait la bonne chose car j’attendais sa réponse et hésitait tout en tentant de partir, allais-je me répondre ? Peut-être un jour mais je ne le savais pas, je doutais de moi, je doutais de la chose que je venais de faire et tant de questions défilaient dans ma tête comme… m’aime-t-il aussi ou pourquoi ai-je osé lui dire enfin toutes les questions que vous pouviez poser dans ce genre de situation, toute. C’est quand il me dit qu’il m’aimait aussi que je ne savais que faire ou comment réagir car au fond, j’avais tellement peu de confiance en moi-même que je me persuadais déjà d’avoir une réponse négative, j’étais peu confiante en tout, je vous assure mais là… j’avais surtout peur du rejet, le rejet d’un être aimé et je pense que si il m’avait dit qu’il ne m’aimait pas, je serais parti à New-York car si je devais perdre l’homme que j’aime par rejet tout comme ma mère, j’aurais surement eu du mal à m’en remettre et oui puis merde est-ce que je me rendais compte qu’il venait de me dire qu’il m’aimait ? Ecarquillant alors les yeux, fermant la porte que j’avais ouverte, je ne savais pas que dire ou que faire mais je savais que ça allait aller et que rien n’allais me rendre triste ou je pouvais l’espérer, j’avais repris un peu de confiance en moi sachant que j’avais réussis à accomplir une chose par moi-même, dévoiler mes sentiments au bon moment ainsi avoir une réponse positive au bon moment aussi. C’est alors qu’il me plaqua contre le mur ne me laissant pas sortir en tout cas car je n’étais plus à portée de la poigné que j’avais lâché dans le mouvement, je ne voulais plus partir et je n’allais pas reculer, je ne voulais plus reculer. Pourquoi reculer de toute façon ? « Ça fait tellement longtemps que je voulais te dire ça … » me disait-il et alors que mes joues commençaient à rougie, mon cœur battait la chamade, je pouvais le sentir aller plus vite et encore plus vite et boom boom, on aurait pu l’entendre à des kilomètres à la ronde.

_ Rattrapant le temps perdu. Je ne veux plus perdre une seule minute, une seule seconde et passer mon dernier soupir dans tes bras.

Pourquoi et d’où sortais-je ça ? C’était une impulsion que j’avais eu tandis que je plongeais mes yeux dans les siens en prolongeant mon regard tout en me demandant ce que je devais faire mais mon instinct me dit de l’embrasse ce que je fis et on suit toujours un instinct surtout quand c’est une femme au commande de la motricité de son corps. Je me mis alors à prolonger ce baiser tout en me collant à lui et plaçant ma main sur son teeshirt entre l’ouverture de sa chemise de résident. Je me sentais coupable de faire une telle chose sur un lieu de travail surtout le premier jour mais autant augmenter la vitesse, nous ne serions peut-être pas là demain car la vie peut réserver beaucoup de surprise. Je ne savais pas comment il allait réagir et peut-être me stopperait-il pour éviter que j’aille des remords, se serait bien son genre étant donné qu’il me protège tout le temps mais j’avais confiance et je savais que rien ne serait pareil quoiqu’il arrive dans cet chambre, nous avions déjà tout chamboulé entre nous alors plus de changements, plus de bonheur.

Que demander plus que quand on vous dit que vos sentiments sont partagés ? Comme même j’ai connu pire scénario que ceci non ? J’avais peur de lui avouer mes sentiments mais je devais le faire car je devais faire acte de bravoure et courage , j’étais comme même un homme qui est respecté et se respecte mais comme même je le fis indirectement , je l’embrassais et voyait sa réaction bien qu’elle ne fut plus que bonne … Rassurant hein ? Ce doute se dissipa au moment où elle m’a dit qu’elle m’aimait c’est fou mais l’entendre me dire qu’elle m’aimait ça m’avait disant comme libérer d’une chose que je me retenais de dire par peur , par lâcheté faut l’avouer parce qu’après si ce que je ressentais n’était pas réciproque qu’allais faire ? La croiser tous les jours en essayant le maximum de l’éviter ? Bref là j’étais en face d’elle en train de l’embrasser , j’enchainais les baisers n’oubliant pas de respirer vous voulez que je meurs ? Non jamais … C’est fou mais elle embrassait merveilleusement bien ses lèvres étaient douces , légèrement glacées. Je ne sais pas si c’est l’amour mais ce baiser m’avait l’air spécial bien mieux que n’importe quel que je n’ai jamais donné ou reçu de toute ma vie . Je frissonnais quand elle mit sa main sous mon tee shirt . Je vous vois déjà vous dire mais ils vont trop vite alors qu’ils viennent de s’avouer leurs sentiments et hop c’est coucher ensemble , ce n’était pas simplement l’acte mais aussi la preuve de notre amour , nous allons donner notre corps l’un à l’autre , le découvrir , le toucher , le sentir pas le faite de coucher pour coucher vous me comprenez un peu ? J’avoue être un peu confus. Quand celle-ci mit sa main sous mon tee shirt je ne savais pas comment réagir à un moment mais ça ne dura qu’une fraction de seconde car mon impulsion et mon désir de faire cela était bien plus fort donc alors qu’on étaient à coté de la porte et qu’elle l’avait fermé , il restait comme même une petite ouverture où l’on pouvaient nous voir dans notre intimité , donc je la rapprochais du lit et je nous couvrais du rideau enfin plus exactement appelé la cage nous serions donc tranquille je la laissais donc m’enlever mon tee shirt et je la laissais s’allonger , je me mis sur elle délicatement sans l’écraser non plus et je mis mon tour ma main sous son haut , sa blouse déjà enlevée bien sur je lui enlevais donc son haut attendant qu’elle me donne son accord bien sur , je voyais un magnifique corps que j’avais déjà vu mais je m’autorisais le faite de le voir d’une autre façon . Je lui murmurais sur son oreille :

- Très beau corps comme d’habitude…

Je continuais comme même à la caresser et lui donner des frissons je voulais la rendre heureusement bien que sexuellement que sentimentalement . Je n’avais eu jamais eu une sensation mais je sentais que c’était l’unique , la bonne celle qui fera battre mon cœur aussi fort .

Du désir ? J’en avais énormément mais en fait, je voulais profiter de l’instant car c’est rare que l’on nous dise « Je t’aime » et alors qu’on n’est même pas un couple, c’est aussi rare que je savais qu’il fallait que l’on rattrape le temps perdu, celui des premiers rendez-vous et de la première nuit. Je ne savais pas ce que je pouvais faire mais je mettais simplement la main sous son teeshirt et tout se mit alors à accélérer ce que je ne redoutais pas, je le cherchais peut-être mais bon, je voulais surtout passer un moment avec l’homme que j’aime et surtout oublier le reste, les problèmes et le travail ce qui est vrai est que le faire sur le lieu de travail était un moyen marrant d’oublier le travail, vous savez que 70% des personnes fantasmes de le faire sur le lieu de travail ? J’en ris toujours car c’est avec les plus grandes folies que l’on fait les plus belles histoires comme le dit souvent papa sans se douter que j’utilise ce terme dans ce genre de situation, il me tuerait.

Je me couchais sur le lit délicatement tandis qu’il se mettait sur moi alors que j’étais à moitié nue, il me fit rire en me disant que j’avais toujours un aussi beau corps, il était charmant mais cela prouvait qu’il regardait et je crois que c’est ce qui me charmait encore plus… Je voulu en toucher un mot…mais je me contentai d’ouvrir la bouche pour dire…

_ Chutt, aimes-moi c’est tout.

Pourquoi cette phrase, je ne savais pas pourquoi mais ses mains sur mon corps et le touché délicat ainsi que la chaleur me donnait simplement envie de profiter sans avoir besoin de se complimenter, je n’en avais plus besoin, j’avais juste besoin de lui, de son amour. Tout en mettant mes mains sur son torse et en allant délicatement vers le bas de son dos. Je ne savais pas ce qu’il allait réellement se passer après ça mais je savais que je n’allais pas en souffrir.

Combattre un désir ça n’a jamais été mon fort mais qu’est ce que je raconte je ne cherchais même pas à le combattre ce que nous faisions là toute de suite au moment même tombait sous le sens pour moi , nous étions en quelque sorte en train de célébrer nos sentiments de les ressentir , de les montrer . J’étais là juste au dessus d’elle , elle avait un corps magnifique alors que je lui enlevais son haut , je vis un beau soutient de gorge en dentelle noir très sexy . J’adorais les femmes qui choisissaient bien leurs lingeries , elles se sentaient bien lorsqu’elle s’habillait bien sans que cela soit pour un mec . Je voyais son corps , il n’y avait rien a dire je prenais tout mon temps , je lui touchais le bas du dos jusqu’au pantalon puis remontait . Je ne voulais pas non plus aller trop vite vous voyez ? Je prenais le temps de la faire languir de désir , de plaisir et aussi d’amour . J’aimais faire chavirer de plaisir ma partenaire je me sentais un homme qui savait la rendre heureuse , qui savait la faire sourire , et surtout qui est capable en un mot de l’emerveiller ce n’était pas magnifique tout cela ? Je trouvais que si mais bon si vous trouvez le contraire cela reste votre avis parce que nous étions dans notre bulle , je ne bougeais pas mes lèvres des siennes c’était devenu comme une addiction quand j’y goutais je me pouvais plus m’en passer mais pour rajouter plus de peps , je descendais mes baisers au niveau de son cou je savais que c’était votre faible vous les filles ou encore la lobe de l’oreille enfin passons , je descendais de plus en plus bas jusqu’au niveau de son pantalon je fis descendre la braguette et je la vis sourire cela me faisait plaisir parce qu’elle était heureuse , heureuse de pouvoir partager ce moment si unique avec moi . Nous étions donc l’un sur l’autre et une chose entrainant une autre nous allions nous apprêter à coucher ensemble depuis un certain temps , on avaient hâte mais on voulaient comme même que tout se passe bien , pas que ça soit vite fait . On voulait que ça soit mémorable , agréable et surtout très fort en sentiments. Mes yeux pétillaient de bonheur , j’étais avec la femme que j’aimais , mon corps était serré au sien , sa poitrine collé à mon torse . Je la laissais donc un peu me déshabiller avec un peu de difficulté car nous étions sur un lit d’une place et demie . J’étais donc en caleçon , alors je pris les devant et lui enlevait aussi son bas maintenant nous étions tous les deux en sous vêtements c’était si bon de la voir de la voir dans le plus simple appareil c’était naturel et très enrichissant car ma curiosité se comblait peu à peu . Je la voyais tous les jours , j’ai toujours trouvé que son corps était magnifique mais là j’avais le droit de le voir comme quelqu’un qui peux le dévorer et pas comme celui d’un grand frère il avait comme même une grande différence . Je me taisais comme je l’avais promis et comme surtout elle me l’avait ordonné mais quelque chose est sure quand cet exercice fini je ne manquerais pas de complimenter toutes les parties de son corps sans exceptions… Je continuais donc mes caresse sensuelles en occupant ses douces lèvres par de tendres et langoureux baisers .

Tout allait très rapidement, je ne pouvais me rendre compte de la façon dont nous rattrapions le temps perdus, tout ce désir cet envie de lui me rendait complétement aveugle de la rapidité que nous pouvions prendre mais je m’en foutais, je l’aimais et c’est tout ce que je savais. Je n’avais jamais été aussi certaine de mes sentiments puis je le connaissais, nous nous connaissions et nous savions que nous pouvions continuer sans se soucier de devenir un simple coup d’un soir. Je savais qu’il ne me laisserait jamais une fois qu’il aurait eu ce qu’il voulait mais je le voyais aussi dans ses yeux, je le ressentais à chaque fois qu’il posait un regard sur moi ou ses mains, à chaque caresse et tendresse ou même la délicatesse qu’il prenait pour avancer et la douceur dont il faisait preuve. Il ne me blesserait pas, je le savais. Cependant j’étais une femme et la peur d’avoir le cœur brisé était là, nous étions pratiquement nu et sur un lit tout petit, j’étais persuadé que le faire sur le sol serait bien plus pratique mais moins confortable alors je m’en foutais et puis l’endroit m’importait bien peu. Je voulais juste être heureuse et me sentir bien pour un instant dans ses bras. Délicatement lors d’une croisée de son regard et bien que je savais que je lui avais interdit de parler enfin pas interdis, je n’étais pas du genre à être un leader.

_ Ne me brise pas le cœur.

Je savais qu’il ne le ferait jamais, je mis alors ma main sur sa joue et plongeait mon regard dans le sien, non pas par ce que je voulais stopper tout, non je ne faisais qu’en profiter un maximum et être avec lui… après ce long regard, je l’embrassa sensuellement et avec un regard coquin, je ne savais même pas si il allait répondre ou autres mais je ne lui avais pas laissé le temps, il le trouvera surement bientôt, je n’en doutais pas du tout. Je me mis alors à passer ma main le long de son dos, pour remonter jusqu’au coup. Tout en le regardant dans le blanc des yeux, je ne quittais pas son regard qui me disait tellement de chose, un regard peut remplacer toutes les paroles du monde, tous les compliments inimaginables et tous les « Je t’aime ». Qu’allais-je faire alors que l’on commençait à passer à l’acte, la chaleur de la pièce me paraissait avoir doublé, l’on pouvait voir un peu de sueur tellement nous étions presque en transe, c’était toujours comme ça et c’était ce qu’on pouvait appeler, la chaleur du feu de l’amour… pas de la série bien sûr.

Cela se faisait totalement naturellement , c’était comme si qu’il attendait juste notre approbation. Cet acte était si rempli de désir et d’amour que nous nous rendions pas compte de l’espace , j’étais donc sur elle sans l’écraser Attention ! Car j’étais doux avec les filles je n’étais pas du genre gaillard aimant faire l’amour avec force juste pour montrer ma virilité . Non non je vous ressure cen’était pas du tout mon genre . Revenons à ce que j’étais entrain de faire , j’étais entrain de faire l’amour avec une interne , tout cela me venait en tête mais bon je ne devais pas penser à ça je devais penser à tout l’amour que je lui portais et inversement alors je souris et lorsqu’elle me dit cette phrase « Ne Me Brise Pas Le Cœur » Je n’y avais même pas pensé nous étions très proches et je savais ce qui lui ferait du mal . Je ne lui ferais pas de mal pour la simple et bonne raison que je l’aimais et qu’avant d’en arriver là c’était ma meilleure amie . Je commençais donc à lui faire l’amour après nous avoir deshabiller , quelques gémissements se sont fait entendre bien qu’on essayaient le maximum d’être discret comme même . La chaleur commençait à monter , les esprits s’échauffaient et entre nous c’était complétement une complémentarité incomparable. Nous étions en parfaite osmose mais comme j’étais aussi concentré dans l’acte je ne lui répondis pas à son affirmation.

- Je n’y ai jamais pensé mon cœur…

Je continuais alors à accelerer le mouvement et cela me faisait plaisir de voir que je pouvais lui faire du bien , je me sentais un vrai homme car il ne faut le nier quand un homme sait faire plaisir à la femme qu’il aime c’est plus qu’une satisfaction c’est comme si qu’à chaque fois il devait prouver son talent pour ça.

On dit souvent que la vie est courte parsemée d’embuche et de malheureux tourment mais que le bonheur est toujours éphémères avant que la tristesse débarque. Je l’ai souvent cru mais peut-être que tout cela changerai un jour ? Je ne savais pas vraiment si cela pouvait devenir triste sauf si il me brisait le cœur mais j’avais confiance. Je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir peur même si je le connaissais. J’avais peur. On m’avait tellement abandonnée dans une seule vie. Ma mère, une personne qui ne doit surtout pas abandonner un enfant, une petite fille. Elle avait osée et c’était bien trop difficile à croire pour mes petits yeux. Je ne pouvais pas m’empêcher d’y penser « l’abandon » triste et horrible chose qui arrive souvent à ceux qui ne le méritent pas et ne le veulent pas.

Parfois l’on aimerait voler et oublier les autres et c’est un peu ce qui se passait… je volais en regardant dans le plan de ses yeux, en touchant sa peau et me connectant à lui. Laissant ne deux âmes ne faire plus qu’une seule. J’étais à lui, avec lui et seulement pour lui alors que nous faisions l’amour tout en restant discret. J’imagine déjà mon résident débarquer, il serait heureux (ou pas) de voir ce qui se passe. Je vois déjà sa tête. La honte mais je m’en fichais au fond alors qu’il disait ne jamais avoir pensé à me faire du mal, je ne pus m’empêcher d’atteindre ses lèvres pour l’embrasser tout en mordillant celle-ci. Je ne pouvais pas le quitter des yeux, je n’y arrivais pas.

_ Je t’aime.

Disais en souriant, je pouvais être d’un romantisme parfois, non mais franchement. J’étais d’un ridicule. Juliette est encore moins fleur bleue que moi, dis-donc mais je le pensais, je pensais les deux mots que j’avais prononcé, je les pensais de tout mon cœur, de tout mon être.