| Sujet: Owen Hunt ♦ the brave soldier Mar 15 Fév - 13:12 | |
| Fiche d'Information | Nom : HUNT Prénom(s) : Owen Âge : 39 ans
Sexe : Masculin Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Né le : 10 Août 1971 à : New-York
Métier : Chirurgien en traumatologie
Célébrité sur l'avatar : Kevin McKidd Groupe Désiré : Titulaire
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.:: Description du Physique ::.
Que dire sur le physique de notre ancien soldat de l'armée américaine ? Commençons peut-être par ce qu'il se voit le plus chez une personne. C'est un homme assez grand, possédant une carrure de bon sportif ayant passé quelques années dans l'armée mais surtout étant bon sportif. C'est d'ailleurs une de ses " thérapie" favorite contre les crises d'angoisse. Son teint de peau est plutôt pâle, ses yeux d'un bleu particulièrement clair. Des yeux qui reflètent une certaine sensibilité et surtout une fragilité profonde malgré son côté très impulsif et parfois strict. Ses cheveux sont roux avec quelques reflets blonds, et courts. Son visage a la forme d'un ovale presque parfait. Côté vestimentaire, il aime tout de même se vêtir de façon chic et élégant, faisant en sorte de bien paraître aux yeux des autres tout en restant naturel car le fait de se forcer pour le plaisir des autres ne l'intéressent pas. Soit on l'accepte tel qu'il est soit tant pis.
.:: Description du Caractère ::.
En ce qui concerne le caractère de notre cher ancien major, celui-ci s'avère être quelque peu complexe. Mais commençons par le commencement : comme tout bon soldat qui se respecte, il est quelqu'un de loyal qui sait ce qu'il veut et surtout courageux voir parfois plutôt téméraire. débrouillard avec tout et sait toujours ce qu'il faut faire, il ne craint pas la douleur physique. Solitaire, confiant, emphatique il un excellent chirurgien. Même si ses méthodes peuvent en effrayer plus d'un. Il raisonne rapidement et possède une grande capacité d'adaptation, faisant face à toute sorte d'épreuve. Peu de choses lui font peur. Encore profondément marqué par sa dernière mission en Irak, il change brutalement de personnalité et a de sérieux troubles du comportement pouvant le rendre violent et agressif. Seulement il saura faire face à son comportement, sachant faire des efforts et se remettre en question. Il sait ce qu'il veut, et n'est pas du genre à abandonner. Surtout lorsqu'il s'agit d'une personne à laquelle il tient énormément. Il sait mettre son courage et sa loyauté à profit et ne supporte pas l'injustice. Tentant de se montrer optimiste le plus souvent possible, même parfois dans certain cas désespérés. Seulement, cela peut des fois le rendre particulièrement têtu. Malgré son côté solitaire, il apprécie tout de même être en bonne compagnie. Au fond de lui, il cache une profonde sensibilité et fragilité, même si c'est un battant voir un homme il reste tout de même et surtout un humain.
En temps normal il se trouve que j'ai horreur de parler longuement de ma vie, mais il semblerait que présentement je n'ai pas vraiment le choix. Je suis, comme tout le monde, le fruit de deux unions. Je n'ai pas énormément de souvenir sur mon père, n'ayant jamais passé beaucoup de bons moments avec lui. Disons que soit il était souvent absent de par son travail ou ses nombreuses missions dans l'armée, soit il semblait plus occupé ailleurs, soit quand il venait me voir c'était pour me remonter le bretelle et me faire des serments interminables. En revanche, j'ai toujours su rester proche de ma mère. Il y avait une bonne complicité entre nous et heureusement d'ailleurs sinon je serais peut-être devenu encore plus renfermé que je ne l'étais déjà. Je ne me plaindrai pas de mon enfance, car je sais que d'autres en vivent et en ont vécu des bien pire. Ma mère s'est toujours bien occupé de moi, j'ai toujours mangé à ma faim et dormi dans un bon lit. La seule différence avec les autres enfants fut que je suis devenu autonome très rapidement. A l'école primaire et au collège, j'étais un peu le bouc-émissaire de ma classe. J'avais droit à tous les surnoms du genre : poil de carotte, Fifi Brindacier et j'en passe... Étant le seul "spécimen" roux de l'école. J'ai donc appris très tôt à m'entourer d'une carapace. Ce qui n'était pas plus mal d'un côté. Au fur et à mesure, j'ai su ignorer totalement les représailles et avancer dans ce qui en valait plus la peine : les études. Alors que j'allais faire mon entré à l'Université, j'appris le décès de mon père à l'étranger. Cela me fis bizarre... je m'attendais à être plus triste tout de même mais finalement pas plus que ça. Avec du recul, je compris que ce que je ressentais était plus de la colère que de la tristesse envers lui. J'ai toujours eu tendance à me montrer particulièrement attentif et protecteur avec ma mère mais suite à la disparition de mon père cela empira. Je n'arrivais plus à supporter le fait qu'on fasse du mal à ma mère, ou même qu'on l'abandonne. Elle fut ensuite foudroyé par un AVC, une chose qui arrive toujours quand on s'y attend le moins. Étant le seul à pouvoir m'occuper d'elle, durant toutes mes années de médecine je reste à ses côtés. Étant une battante, elle réussit à se rétablir et moi à me battre pour mon diplôme. Je n'avais jamais parlé à personne de mon envie à devenir chirurgien, mais en tout cas, ce fut et restera toujours mon plus grand rêve. Je pensais donc à devenir médecin sans frontière, et puis une opportunité me fut offerte à l'armée. Une décision cependant difficile à prendre, mais que je ne regretta pas de prendre. Je partie donc pour plusieurs missions à l'étranger, montant rapidement au fil des années semblant être particulièrement apprécié et efficace selon les généraux. L'armée m'a enseigné beaucoup de chose, comme le sens de la solidarité, le don de m'adapter à toute sorte de situation, et m'apporta surtout beaucoup en maturité. Je voulais savoir jusqu'où j'étais capable d'aller, dépasser mes limites. Peut-être une petite revanche intérieure par rapport à mon passé. Quoi qu'il en soit, j'ai commencé à sauver des vies, mais aussi à rencontrer la mort au quotidien. Entre temps, je croise la route d'une jeune fille avec qui je me fiancerai. Ce fut une grave erreur et le pire c'est que j'en étais parfaitement conscient. Elle était folle de moi, mais ce n'était pas vraiment réciproque ou du moins je le croyais... Tout bascula lorsque je fus envoyé en Irak, en tant que major. Je savais que la situation là-haut était plus que difficile mais je ne m'attendais pas en être marqué de cette manière. J'y ai vu beaucoup trop de mort, de souffrance. Au départ, tout se passait à peu prêt bien. Des liens fort commençaient à se tisser dans toute l'équipe, dont pour ma part plus particulièrement avec une collègue du nom de Teddy Altman. Seulement, peut-être qu'à un moment donné j'ai ressenti un peu plus que la grande amitié pour elle. Très rapidement, les attaques ennemis commencèrent à se faire de plus en plus fréquentent. Afin d'éviter de faire souffrir mon actuel fiancé aux États-Unis, je décide de rompre avec elle par e-mail et de ne plus apporter aucune nouvelle à mes proches. Lâche, je le sais, mais pour la bonne cause, ou du moins selon moi. Je reçois enfin la permission de retourner chez moi pour quelques jours avant de revenir si je le désire...
Vient donc le moment où j'atterris dans un hôpital de Seattle après avoir sauver la vie d'un homme à l'aide d'une trachéotomie faite par un stylo. Sans me douter une seule seconde que cet endroit sera un grand tournant dans ma vie. Tant dans ma vie professionnel que privée. Ma méthode sembla réellement impressionner le chef des lieux, ce dernier me propose un poste que je refusa car je ne voulais pas abandonner mon équipe tout de suite. Même si je ressentis une étrange hésitation lors de cette prise de décision. Certainement provoqué par cette asiatique, avec qui j'ai échangé un baiser. Une femme qui fit basculer mon cœur en quelques secondes. Mais je me devais de poursuivre ma route. J'ai fais beaucoup de sacrifice pour en arriver là. A mon retour sur le terrain, la mission tourna alors au cauchemar quelques jours plus tard. Une grande partie, voir même la totalité de ma troupe perdirent la vie dans une violente attaque. Je fus le seul survivant. Pourquoi moi ? Encore aujourd'hui je l'ignore. Entre temps, je ne me souviens de plus grand chose. Je ressens comme un profond blocage au fond de moi, j'ai même l'impression de me sentir différent. Rongé par l'angoisse, malgré le fait que cela se soit passé il y a maintenant plusieurs jours, j'en rêve sans cesse. J'ai des angoisses, j'ai peur de m'endormir si c'est pour faire des cauchemars, le moindre bruit suspect me fais sursauter, je deviens incontrôlable. Je suis considéré comme un héros, pour ma part ce n'est pas ce que j'appelle être un héros. Certes je suis un survivant, mais je n'ai pas été capable de sauver la moindre vie alors que c'était mon job. Tout le monde me conseil de consulter un thérapeute. Ce que je vais finir par faire pour leur faire plaisir, mais cela ne règlera en rien mon mal-être. Une seule chose semble cependant réussir à apaiser mon esprit... quand je repense à cette asiatique. Un matin, pris d'un grand déclic je décide d'accepter ce poste que l'on m'a proposé dans cette hôpital. Car je n'ai aucune envie de rester enfermé chez moi sans rien faire, sachant que si je ne m'occupe pas l'esprit, qui sait comment je finirai... Le chef m'accepte, et j'ai la meilleure place en traumatologie. Une nouvelle vie débute pour moi, même si le passé restera toujours intact. Je dois prendre sur moi pour me faire accepter parmi l'équipe de l'hôpital, mais de toute manière ils devront bien s'y faire. Je sais que mes méthodes de travail peuvent s'avérer quelque peu orthodoxes mais très efficaces. Finalement, je n'aurai aucune difficulté à m'intégrer, ni même à recroiser la route de cette femme : le Dr Yung. Aujourd'hui, j'aime cet hôpital, commence à bien aimer mes collègues ainsi que mon statue, et surtout Cristina Yung. Même si je sais que le travail risque d'être encore long, je tente le tout pour le tout afin d'avoir à nouveau une vie... normale.
Où suis-je ?? Qui suis-je ?? Deux questions qui ne cessent de tourbillonner dans ma tête chaque nuit. J'ignore l'heure qu'il doit être mais le soleil n'est pas encore levé, et me voilà à nouveau dresser droit comme un ' i ' sur mon lit, en sueur. Un cauchemar... encore et toujours. Enfin non, pas vraiment un cauchemar mais plutôt un tas de souvenirs proches qui ne cessent de me hanter chaque nuit. Je n'arrive plus à dormir, je n'ose même plus. Car je sais d'avance que je finirai par revoir toutes ces images dans ma tête... tous ses morts, ce sang, leurs cris et leur regard avant de mourir. Je n'arrive pas à retirer toutes ses images de ma tête, je n'arrive pas à en faire le deuil et peut-être que je n'en ai aucune envie d'ailleurs. Je n'arrive pas encore à me justifier ce qu'il s'est passer... j'aurai peut-être pu les sauver. Mais ce qui est fait est fait, j'ai échoué. Mais pourquoi ai-je survécu et pas eux ? Pourquoi suis-je seul et unique survivant de cet accident ? Ce n'est pas juste... mon unité méritait de vivre tout autant que moi. Cela fait à présent plusieurs jours que je suis revenu d'Irak. Plusieurs de mes camarades m'ont conseillé d'aller consulter un thérapeute. Pour qu'il me dise quoi ? Que je souffre d'un stress post-traumatique ? Je l'ai déjà bien compris moi-même étant médecin ne l'oublions pas. Je n'ai rien contre eux, seulement je sais qu'ils ne peuvent rien pour moi. Ils ne feront pas revenir mes hommes et n'arriveront pas à supprimer toutes ces images de ma tête d'un coup de baguette de magique.
Je tente de récupérer mon calme, de faire fuir mon angoisse et de détendre les muscles de mon corps. Je suis sur les nerfs, j'ai envie de tout casser autour de moi, je me sens mal de l'intérieur. Je ne sais pas quoi faire. Il m'arrive même parfois de ne plus me reconnaitre, de ne plus me contrôler. Je dois me calmer, ici je ne risque rien. Je suis dans mon lit, dans mon appartement... mais ensuite ? Que me réserve l'avenir ? Je ne peux plus retourner sur le front. Je me laisse tomber en douceur sur le lit, fixant le plafond comme j'admirerai un ciel étoilé. Je ne peux non plus rester ainsi sans rien faire ? Ou je deviendrai définitivement fou. Soudain, un visage me reviens en tête. Ce n'est pas la première fois que ce visage illumine mes pensées. Le visage d'une femme, d'une résidente plus précisément que j'ai rencontré juste avant de repartir en Irak. Une femme qui m'a soigné, que j'ai soigné. Possédant beaucoup de talents et surtout de charisme. Je dois bien avouer qu'elle ne m'a pas laissé indifférent, je dirai même pas du tout. Surtout notre baiser... oui j'ai eu l'audace de l'embrasser. Son visage me revient sans arrêt en tête. Et quand cela arrive, je me sens comme... soulagé, apaisé. Tout semble aller mieux. Et puis, je me souviens du Dr Webber m'ayant proposé de venir travailler dans son hôpital. Étant donné mon état, j'ignore si ce serait une bonne idée mais d'un autre côté je n'ai pas envie de refuser cette offre. J'aime et j'aimerai toujours autant mon métier. De plus, je sais que si je ne me trouve pas au plus vite une occupation je risque de sombrer. Depuis ma plus tendre enfance, je rêve d'être chirurgien et aujourd'hui j'en suis un alors il est hors de question que j'abandonne. Je ne suis et ne serai jamais un lâche...
N'arrivant définitivement pas à retrouver le sommeil, je sors de mon lit avec bon élan. Bien décidé à retourner rendre visite au Chef Webber tout en espérant que son offre tienne toujours. Restons positif. Ne minimisant pas sur mon apparence aujourd'hui pour, peut-être, ma première journée au Seattle Grace je m'y rend donc vêtu d'une de mes meilleurs tenues de travail. Une fois arrivé, certaines infirmières et internes ne semblent pas m'avoir oublier. Suis-je si spécial que ça ? En temps normal, n'importe quelle personne se sentirait intimidé face à tous ces mélanges de regards. Seulement il m'en faut bien plus pour me faire réagir, je me moque des opinions des autres. Ils ont le droit d'en avoir après tout, tout ce que je veux c'est venir travailler ici, poursuivre mon métier, m'améliorer, et surtout sauver des vies. Mais si je me souviens bien, c'est le coup de la trachéotomie avec un stylo qui a impressionné bien du monde. Cela ne m'étonne plus moi, mais c'est vrai que pour ces gentils petits civils c'est une autre histoire, je ne m'en rend pas toujours compte. Ayant toujours eu l'habitude à l'armée de soigner mes camarades avec tout ce qui me tombait sous la main. Je n'ai passer que quelques heures dans cet hôpital et pourtant j'ai déjà l'impression de le connaître par cœur. Inconsciemment, mon regard scrute le moindre visage féminin que je croise, peut-être dans l'espoir de revoir cette charmante asiatique ? J'arrive au bureau du Chef Webber. A l'aide de ma main droite, je frappe à sa porte, la tête haute. Richard vient m'ouvrir, et semble particulièrement surpris de me faire face. Mais rapidement, je lis de la joie dans son regard. Aurait-il déjà compris la raison de ma venue ? Certainement... il n'est pas nait de la dernière pluie. Rappelez-vous, c'est le Chef. Sans même prendre le temps d'entrer je prend la parole, sûr de moi comme jamais.
« J'accepte votre offre. »
Richard me tend sa main droite et me regarde droit dans les yeux. Sans un mot de plus nous nous serrons la main. Me voilà à présent Chef du service de Traumatologie. J'ignore comment va se dérouler la suite, mais l'inconnu n'est-ce pas quelque chose d'excitant justement ? Beaucoup de travail semble m'attendre, cela me convient parfaitement. Le chef semble compter sur moi pour faire remonter la réputation de ce service, il ne sera pas déçu. Et même si mes méthodes peuvent déplaire à certain, qu'importe...
| Prénom ou Pseudo : Poulpe =P Sexe et Âge : Biiip... && 20 ans
Comment avez vous connu le forum ? : Un membre sur un autre forum m'en a parlé et m'a filé le lien. Comment trouvez vous le forum ? : Vraiment trèès beau =)
Quelle est votre disponibilité rp ? : Environ... 5 ou 6 jours sur 7.
Ok by Alex
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Dernière édition par Owen Hunt le Sam 19 Fév - 15:02, édité 8 fois |
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